La Commission Relations avec les Élus dont le Président est Bernard Gahnassia, a reçu le 21 février dernier Guilhem Carayon, Président des Jeunes Républicains, vice-Président et porte-parole des Républicains (LR).
Dimanche 10 mars, la salle était pleine à l'Institut Culturel du Judaïsme à l'initiative conjointe de l'Institut et des Amis du Crif Auvergne Rhône-Alpes (ARA).
Vendredi 8 mars 2024, les militantes et militants du collectif Nous Vivrons Bordeaux ont du être exfiltrés, comme les membres du collectif Nous Vivrons à Paris, de la manifestation organisée dans le cadre de la journée des droits des femmes. Retrouvez dans cet article le communiqué de presse du collectif Nous Vivrons Bordeaux.
Cinq mois après l'assassinat par un terroriste islamiste de Dominique Bernard enseignant au lycée Gambetta à Arras, la cérémonie d'hommage national aux victimes d'attentats terroristes s'est déroulée pour la première fois en dehors de la capitale depuis l'instauration en 2020 par le Président de la République, Emmanuel Macron, d'un hommage de la Nation aux victimes d'attentats en France et aux victimes françaises d'attentats commis à l'étranger. Ariel Amar, membre du bureau exécutif du Crif, et Patricia Sitruk, membre du comité directeur du Crif, représentaient le Crif à cette cérémonie.
À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le collectif « Nous vivrons » a participé, vendredi 8 mars 2024, à la grève féministe et répondu à l’appel des organisatrices de la marche à Paris. Très rapidement le cortège mené par le collectif pour porter la voix des victimes israéliennes des massacres du 7 octobre et des otages encore retenus dans la bande de Gaza, a du être exfiltré par les forces de l’ordre.
Le cortège a été encerclé et a reçu « des insultes de partisans de la cause pro-palestinienne puis des jets de projectiles » comme l’a indiqué Laurent Nuñez, préfet de police de Paris.
La députée de Paris Caroline Yadan (Renaissance) a porté une proposition de loi qui renforce des sanctions pénales contre les actes antisémites et racistes. Ce texte a été très récemment adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, sans les voix de La France Insoumise (LFI), ni celles du Rassemblement national (RN). Avocate et juriste, cette parlementaire répond à nos questions et précise les importantes avancées de ce texte de loi qui doit permettre notamment à la justice de pouvoir ordonner des peines d’emprisonnement à l’encontre des auteurs de propos haineux, antisémites et racistes. La députée souligne par ailleurs l’infamie que constitue à ses yeux la présence sur la liste LFI des européennes de Rima Hassan, soutien du Hamas : « les Frères Musulmans et les organisations islamistes ont trouvé leur cheval de Troie dans la Mélenchonie », lance-t-elle.