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Publié le 9 Février 2015

Facebook, une zone de non-droit ?

«En 2014, à la suite des signalements de Marc Knobel pour le CRIF, nous avons étudié la jurisprudence française»

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Publié le 3 Février 2015

Badiou : misère de la "lumpen-philosophie" - Charlie, les Juifs, l’Islam

« C’est un drame pour l’université française qu’elle puisse continuer à produire ce type de pensée »

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Publié le 3 Février 2015

Ce que l’antisémitisme dit, ce que l’antisémitisme est

« Le conflit israélo-palestinien n'est-il pas un (faux) prétexte qui a fait sauter le tabou de l'antisémitisme? »

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Publié le 30 Janvier 2015

Aider à lutter contre la radicalisation

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Publié le 29 Janvier 2015

«Ce que l’antisémitisme a pour nom, en 2015»

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Publié le 28 Janvier 2015

Auschwitz, horreur symbolique absolue de l'antisémitisme

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Publié le 26 Janvier 2015

Charlie Hebdo : fusion et confusions après le massacre

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Publié le 23 Janvier 2015

Une nuit, j'ai fait un cauchemar

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Publié le 21 Janvier 2015

Face à l’antisémitisme, le choix du départ des Juifs pour Israël doit rester un personnel

Par Maurice Lévy,  Président du directoire du groupe Publicis, publié dans le Monde le 21 janvier 2015

Je n’ai pas aimé voir le premier Ministre britannique, David Cameron, dérouler le tapis rouge aux entrepreneurs français. Je n’ai pas davantage aimé voir le premier Ministre israélien, Benjamin Netanyahu, appeler les Juifs français à émigrer vers Israël. Pourtant, je comprends les Juifs de France qui, subissant un antisémitisme de plus en plus violent, brutal et aveugle, s’interrogent, s’inquiètent et envisagent de partir.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

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23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Hervé Rehby* : «L’exemple des Justes donne à réfléchir sur le principe de responsabilité, sur le rapport à l’Autre»

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22 Janvier 2008
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?

Hellen Kaufmann* : «Transmettre ces trésors d’humanité que sont les Justes est un devoir absolu»

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21 Janvier 2008
Question : Vous avez été la rédactrice de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Ce travail rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. Quelles ont été vos sources, la méthodologie utilisée et comment ce projet a-t-il évolué ?

Trois questions à Sefy Hendler

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21 Janvier 2008
Sefy Hendler, Vous avez été le correspondant à Paris de Maariv puis de Yedioth Aharonoth pendant plusieurs années. Au terme de votre mission, comment voyez-vous l'avenir de la France ?

Questions à Karim-Hervé Benkamla

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14 Janvier 2008
Karim-Hervé Benkamla, vous êtes vice-président fondateur de l'Amitié judéo-musulmane de France et délégué général du Conseil français des musulmans laïcs. Depuis plus de dix ans, vous êtes impliqué dans le dialogue entre Juifs et Musulmans et vous aviez initié en 2003, avec d'autres personnalités, un appel pour la paix et la fraternité.

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