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Publié le 4 Janvier 2016

De battre, nos cœurs se sont arrêtés

L’année 2015 aura été un long tunnel où notre quotidien aura été strié de sidération, jusqu’à l’étouffement

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Publié le 4 Janvier 2016

De battre, nos cœurs se sont arrêtés

L’année 2015 aura été un long tunnel où notre quotidien aura été strié de sidération, jusqu’à l’étouffement

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Publié le 22 Décembre 2015

Entretien avec Pascal Bruckner : «Il faut un front anti-fasciste contre l'islamisme»

Pour Pascal Bruckner, la poussée du FN aux régionales a détourné le regard du réel danger qui nous menace : un islamo-fascisme qui se nourrit de tous les messianismes de l'histoire idéologique.

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Publié le 9 Décembre 2015

Manger, vivre et penser français...

S'exprimant à Ajaccio, Marine Le Pen avait déclaré : "Pour mériter la nationalité française, il faut parler français, manger français, vivre français"
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Publié le 9 Décembre 2015

Les yeux grands ouverts

 
Cent trente morts, des centaines de blessés, des milliers de traumatisés. Combien faudra-t-il d'autres vies saccagées pour que l'on garde les yeux ouverts la menace présente ?
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Publié le 4 Décembre 2015

L’école et les profs, les ennemis de Daech

L'EI ne lésine pas sur les moyens et diffuse sur Internet sa propagande ignominieuse...

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Publié le 4 Décembre 2015

Gaspard Koenig : et si on arrêtait de transformer les terroristes en stars ?

Pour Gaspard Koenig, la meilleure manière de punir les djihadistes serait de "leur refuser un nom et de les enterrer dans l'anonymat"

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Publié le 2 Décembre 2015

Nous devons être les gardiens de nos frères

Le nombre de personnes tuées dans des attentats avait augmenté de 80% en 2014, le plus haut niveau jamais enregistré, selon une étude de l'Institute for Economics and Peace.

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Publié le 17 Novembre 2015

Aux policiers, gendarmes, pompiers et militaires, la France reconnaissante

Souvent l’on oublie de parler d’eux.

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Publié le 16 Novembre 2015

Des visages sur nos morts

Les réseaux sociaux se sont mobilisés pour retrouver les personnes portées disparues, ceux dont nous n’avions pas de nouvelles. 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

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31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

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28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

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23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Hervé Rehby* : «L’exemple des Justes donne à réfléchir sur le principe de responsabilité, sur le rapport à l’Autre»

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22 Janvier 2008
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?

Hellen Kaufmann* : «Transmettre ces trésors d’humanité que sont les Justes est un devoir absolu»

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21 Janvier 2008
Question : Vous avez été la rédactrice de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Ce travail rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. Quelles ont été vos sources, la méthodologie utilisée et comment ce projet a-t-il évolué ?

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