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Publié le 15 Avril 2015

Enseigner le fait religieux à l'école

Le fait religieux – et c’est une spécificité française – ne fait l’objet d’aucune discipline scolaire…
 

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Publié le 14 Avril 2015

Patrick Drahi, les Juifs et l’argent

Découvrez le texte, révisé, de l’allocution prononcée par Bernard-Henri Lévy, le mercredi 18 mars 2015, à l’occasion de la remise à Patrick Drahi du Prix Scopus de l’Université Hébraïque de Jérusalem

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Publié le 14 Avril 2015

Le 11 avril 1945, à Buchenwald

Sonia Combe est aussi auteure de Une vie contre une autre. Echange de victime et modalité de survie dans le camp de Buchenwald, Fayard, 2014

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Publié le 14 Avril 2015

NKM : "On ne fait pas la guerre avec les moyens de la paix"

Nathalie Kosciusko-Morizet était l'invitée de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1

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Publié le 14 Avril 2015

NKM : "On ne fait pas la guerre avec les moyens de la paix"

Nathalie Kosciusko-Morizet était l'invitée de Jean-Pierre Elkabbach sur Europe 1

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Publié le 13 Avril 2015

Ceci n’est pas un choc de civilisations…

Les dénégationnistes veulent ignorer la désassimilation de jeunes des cités, le repli communautaire des quartiers, leur salafisation…

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Publié le 13 Avril 2015

L’intolérable indifférence au sort des Chrétiens d’Orient

Leurs massacres suscitent une indifférence internationale qui pose question. 

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Publié le 8 Avril 2015

Le non-dit et le mal-dit

Le vernis universaliste est trop souvent une feuille de vigne qui recouvre notre lâcheté physique d’un mince confort moral.

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Publié le 8 Avril 2015

Abdennour Bidar : «L'Islam est un homme malade de la civilisation moderne»

Pour le philosophe, beaucoup de musulmans de France souffrent d'une culture de «soumission à la tradition».

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Publié le 7 Avril 2015

Quand revenir sur les chambres à gaz permet une opération mains propres à Marine Le Pen

« On n'a pas besoin que Jean-Marie Le Pen fasse un « dérapage » pour s'interroger sur la nature du FN »
 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Dov Maimon rend hommage à l’Ambassadeur Jacques Huntzinger, défenseur du dialogue entre Chrétiens, Juifs et Musulmans

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06 Février 2008
Question : Vous étiez ces derniers jours à Alexandrie, pour participer aux ateliers interculturels. De quoi s’agit-il ?

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

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31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

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28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

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23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Hervé Rehby* : «L’exemple des Justes donne à réfléchir sur le principe de responsabilité, sur le rapport à l’Autre»

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22 Janvier 2008
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?

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