Jadis ville symbole de l'enfer nazi, la capitale allemande suscite aujourd'hui un véritable engouement dans les milieux «branchés» de Tel-Aviv, qui l'ont massivement adoptée.
L’agence onusienne en charge des « réfugiés » palestiniens continue à pérenniser artificiellement une situation utilisée à des fins politiques et pour sa propre survie et fait monter l’incitation anti-israélienne d’un cran en ouvrant un site web. Rien ne changera toutefois le fait que ces « réfugiés » sont, comme le montre le réalisateur Pierre Rehov, des « Otages de la Haine. » Ou qu’ils n’iront pas s’établir en Israël, comme le souligne un responsable de l’UNRWA aussitôt désavoué...