Tribune
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Publié le 14 Novembre 2016

#Opinion - 13-Novembre - Boris Cyrulnik : "Ces séquelles, on en fait quelque chose"

Le psychiatre et psychanalyste invite à se servir de la vulnérabilité pour avancer et "redevenir acteur de son développement".
Publié sur Europe 1 le 13 novembre 2016
 
Un an après les attentats, les commémorations des attentats du 13 novembres où 130 personnes ont trouvé la mort se sont déroulés en sobriété dimanche. L'association de victimes Life for Paris avait prévu un rassemblement public à 12h30 devant la mairie du XIe arrondissement de Paris, qui avait accueilli de nombreuses victimes dès le soir des attentats. Elle avait aussi organisé une table ronde ouverte aux victimes en présence de Françoise Rudetzki, la fondatrice de SOS Attentats, de l'historien Denis Peschanski et du psychiatre et psychanalyste Boris Cyrulnik. Ce dernier a livré son message d'espoir au micro d'Europe 1.
 
"Pas morts comme si de rien n'était". "La commémoration, c’est une reconnaissance qu’ils ne sont pas morts comme si de rien n’était. Ils sont morts mais on va faire quelque chose de leur souffrance, de leur malheur et du notre aussi. Les commémorations sont nécessaires. Elles vont probablement se stéréotyper mais il faudra probablement un siècle ou deux. On verra à ce moment-là ce qu’il faut faire"... Lire l'intégralité.