Tel est bien l’enjeu actuel : ou bien le monde né de l’islam enferme son avenir dans un retour obscurantiste au moyen âge, ou bien il réforme la lecture de ses textes constitutifs.
S'il est tout à fait légitime et salutaire de critiquer la politique du gouvernement israélien, on doit savoir que les mots ont un sens et que l'Histoire a laissé des traces dans les mémoires.
Un antisémitisme qui pénètre tellement les esprits qu'il est inaccessible au raisonnement et passe par-dessus la nationalité, l'intégration sociale ou la culture d'origine.
Ci-dessous des extraits de propos tenus par l'islamiste belge Abou Imran, en face de l'Atomium à Bruxelles (la vidéo a été mise en ligne sur Internet le 11 décembre 2011) :
Razzan Ghazzawi, blogueuse incarcérée depuis deux semaines par le régime syrien, a été libérée dimanche 18 décembre 2011, contre une caution de 15000 livres syriennes).
Le royaume est devenu ces dernières années un terrain fertile pour l'activité anti-israélienne, mais le rapport 2010 de l'organisation juive CST (Community Security Trust), équivalente britannique du SPCJ français (Service de Protection de la Communauté Juive), détermine que les expressions d'antisémitisme ne se trouvent pratiquement que dans des marges extrémistes, et non pas dans le débat central.
L'incendie du Mont Carmel en Décembre 2010, la pire catastrophe naturelle de l'histoire d’Israël, a tué 44 personnes et entraîné l'évacuation de 17000 habitants de la région. La catastrophe a eu un lourd tribut écologique pour le pays, avec quelque 12000 hectares brûlés et cinq millions d'arbres en cendres.
Jacques Tarnero, vous venez de publier « Le nom de trop, Israël illégitime ? *» dont nous avons publié la préface signée par Pierre André Taguieff (1). Vous avez pris un risque énorme, celui d’être boycotté par tous les médias, en publiant un livre qui aborde un sujet à contre courant. Avez-vous eu du mal à trouver un éditeur ? Pourquoi Armand Colin a t-il décidé de vous suivre ? Qu’elle a été l’avis de l’attachée de presse de l’éditeur ?