Le CRIF en action

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Publié le 10 Mai 2016

Rencontre avec Akiva Tor et le Ministère des affaires étrangères israélien

Akiva Tor a fait part de l’initiative de son Ministère pour gérer et filtrer "les big datas antisémites".
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Publié le 10 Mai 2016

Rencontre avec Naftali Bennett, Ministre de l’Éducation

Le Crif a demandé au Ministre d’accélérer les équivalences de diplôme qui se mettent progressivement en place entre la France et Israël.
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Publié le 10 Mai 2016

Le Crif rencontre Nathan Sharansky, président de l’Agence juive

La discussion a notamment porté sur l’évolution de l’alya française.
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Publié le 10 Mai 2016

Rencontre avec Gilad Erdan, Ministre de la Sécurité intérieure, et des Affaires stratégiques, en charge de la Diplomatie publique

Le Crif a expliqué les lois françaises contre le boycott et ses actions pour dénoncer leur irrespect.
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Publié le 10 Mai 2016

Rencontre avec l’Ambassadeur Lars Faaborg-Andersen, chef de la délégation de l’Union européenne auprès de l’Etat d’Israël

Une rencontre tendue sur le sujet d'une incitation à la haine "réciproque".
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Publié le 10 Mai 2016

Mission du Bureau exécutif du Crif en Israël

Au cours d'un voyage très intense du 3 au 6 mai 2016, la délégation a effectué une mission politique en Israël, avec de nombreuses rencontres.
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Publié le 26 Janvier 2016

Etiquetage des produits israéliens : Laurent Fabius, Ministre des Affaires étrangères, répond à Roger Cukierman

"La France est opposée à tout boycott d'Israël"

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Publié le 21 Janvier 2016

Se mobiliser contre l’antisémitisme, le racisme et le terrorisme

Une nouvelle réunion du « Think Tank » s’est tenue le 12 janvier 2016
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Publié le 19 Janvier 2016

Le Premier ministre Manuel Valls aux Amis du Crif

"Les mouvements dans la société n'ont pas été à la hauteur de ce que l'on pouvait en attendre après les tueries de 2012"

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Publié le 6 Janvier 2016

Non au boycott culturel

Mardi 5 janvier 2016, des membres du BDS ont tenté d'empêcher la compagnie de danse israélienne Batsheva de se produire à l'Opéra de Paris.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Un accord qui «ne résout rien sur le fond»

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18 Mai 2010
François Géré, directeur de recherches à l'Université Paris III et président fondateur de l'IFAS (Institut français d'analyse stratégique), revient, dans nouvelobs.com, sur l'accord Turquie-Brésil-Iran sur le nucléaire, annoncé lundi 17 mai 2010.

Que signifie l'accord sur le projet d'échange de combustible nucléaire entre l'Iran, la Turquie et le Brésil ? Prévoit-t-il l'abandon de nouvelles sanctions du Conseil de Sécurité de l'ONU à l'encontre de Téhéran ?

Il a deux conséquences à court terme : le report - et non l'abandon - des sanctions de l'ONU, et l'éloignement de la menace d'un Iran qui enrichit lui-même son uranium pour le réacteur de recherche nucléaire de Téhéran. Mais l'accord ne fait que reporter le problème, il ne résout rien sur le fond. Il prévoit uniquement l'envoi de 1.200 kg d'uranium enrichi à 3,5% en Turquie, qui est le total fixé en octobre 2009. Depuis, les Iraniens ont continué à enrichir de l'uranium et disposent de bien plus des 1.200 kg qu'ils s'engagent à envoyer. L'accord ne garantit pas qu'à chaque fois que l'Iran reconstitue son uranium, il l'enverra en Turquie. Le pays ne s'engage pas non plus à arrêter d'enrichir lui-même de l'uranium. Dans six mois, on pourrait se retrouver dans la même situation qu'aujourd'hui et arriver à une tonne d'uranium enrichi sur le territoire iranien.

Sur quoi l'accord peut-il déboucher ?

L'accord ouvre néanmoins la porte à un nouveau dialogue. Le gouvernement iranien indique qu'il veut reprendre le dialogue avec les 5+1 mais l'obtention d'un accord satisfaisant s'annonce difficile. Le Brésil et la Turquie viennent s'ajouter, avec la Russie et à la Chine, à la liste des pays qui s'opposent à des sanctions contre Téhéran. Cela fait quatre pays qui seraient contre de nouvelles sanctions, contre quatre autres qui seraient pour. La position diplomatique de l'Iran semble renforcée. Les grandes puissances sont maintenant dans l'attente de propositions sérieuses, constantes et crédibles de la part de Téhéran.

En quoi cet accord entre l'Iran, la Turquie et le Brésil est une médiation de "la dernière chance", comme l'ont qualifié Washington et Moscou ?

Cet accord était la dernière étape avant de nouvelles sanctions prises par le Conseil de Sécurité de l'ONU à l'encontre de Téhéran. Les Iraniens ont réussi à monter un accord qui dans l'état actuel, désamorce le processus grave qui était engagé et reporte de possibles sanctions à leur égard.

La Chine, qui a pris part aux discussions sur de nouvelles sanctions éventuelles, a-t-elle joué un rôle particulier dans la signature de l'accord avec le Brésil et la Turquie ?

La Chine a clairement poussé l'Iran à lâcher du lest. Pékin est très favorable à une entente sur la question du nucléaire iranien et la position chinoise est de dire qu'il y a de la place pour un accord. La Chine a un rôle de coéquipier.

De son côté, Israël a accusé Téhéran de manipulation en faisant semblant d'accepter un enrichissement de son uranium en Turquie. Ces accusations sont-elles fondées ?

Les Israéliens n'ont pas confiance. La position d'Israël est de dire à Téhéran : "On n'y croit pas, vous ne cherchez qu'à reporter les sanctions". Pour l'instant, l'Iran n'a fait que menacer d'enrichir son uranium à 20% mais n'a pas encore commencé à le faire. La peur d'Israël est que l'Iran enrichisse son uranium à plus de 20%. Si les Iraniens renoncent à démarrer l'enrichissement, cela écarte une échéance dangereuse.

Photo (François Géré) : D.R.

L'accord sur le nucléaire iranien "ne résout rien sur le fond" (nouvelobs.com)

Quand Shanghaï était aussi juive..., par Bruno Philip

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10 Mai 2010
Albert Londres, mort dans le paquebot qui le ramenait de Chine en France, disait de Shanghaï qu'elle était "de mère chinoise, de père américano-anglo-franco-germano-hollando-italo-nippon-judéo-espagnol". A l'heure où la mégapole brille de tous ses feux pour cause d'Exposition universelle, on avait peut-être un peu oublié, entre autres identités, le passé juif de celle qui fut le cosmopolitisme fait ville.

Georges Bensoussan : «Depuis quand choisit-on son ennemi et son partenaire pour négocier ?»

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10 Mai 2010
Pourquoi avez-vous signé "l’appel à la raison" de JCALL ?

Faisal Shahzad, du rêve américain au terrorisme

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06 Mai 2010
Lorsqu'il leva la main droite et prononça le fameux «serment de fidélité», ce 17 avril 2009 dans un petit tribunal de Bridgeport dans le Connecticut, Faisal Shahzad, désormais citoyen des États-Unis d'Amérique, réalisait enfin le rêve américain. Il pourrait voter, faire venir des membres de sa famille du Pakistan et voir grand au pays de tous les possibles. Seules lui restaient interdites la présidence et la vice-présidence, réservées aux citoyens nés sur le sol américain.

Tensions à la tête de l'Autorité palestinienne

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06 Mai 2010
Ce pourrait être l'histoire d'un tandem d'hommes de pouvoir, unis par une claire répartition des rôles : d'un côté le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, dont l'activité de globe-trotter est consacrée aux contacts avec les hommes d'Etat à travers le monde ; de l'autre, son premier ministre, Salam Fayyad, qui s'efforce de créer les conditions d'un futur Etat palestinien par une action concrète sur les plans économique et institutionnel.

Netanyahu à ABC News : Nous ferons face aux extrémistes et, finalement, nous les vaincrons

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06 Mai 2010
(Transcription et traduction, par France-Israël, d’une grande interview accordée à la chaine ABC par Benjamin Netanyahu, le 19 avril 2010)

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