Sophie Taïeb

Bloggueuse et rédactrice

Le BDS n'a plus le monopole de la rue.

29 Mars 2016 | 31 vue(s)
Catégorie(s) :
Antisémitisme

FOR JERUSALEM NO VOICE MUST MISS
FOR JERUSALEM NONE OF US CAN REMAIN SILENT

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

Cette période de fêtes juives en France, rime aujourd'hui avec contrôles de sécurtié et détecteurs de métaux

Je suis intervenu aux deux conférences internationales sur l’antisémitisme organisées la semaine dernière à Paris.

Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang.

Mensonges, haine et illégalité.

La fête de l’Humanité, où artistes, politiques et public se pressent, a accueilli une fois de plus un stand appelant à la haine d’Israël.

Dimanche 11 septembre 2016, j'étais l'invité de l'émission "30 minutes pour convaincre".

Dans la newsletter du CRIF du 5 septembre 2016, nous reproduisions une information  faisant état de la publication d’un rapport, publié le 1er septembre 2016 et préparé par l'Association Voices for Human Rights et l'Institut Touro (Touro Institute on Human Rights and the Holocaust).

Vouloir profiter de l'actuelle polémique pour assimiler les arrêtés anti-burkini à la Saint-Barthélemy et à la Shoah, c'est tomber dans l'indigne et le nauséabond 

J'ai recueilli pour la newsletter du Crif les réponses aux questions posées à cet homme qui, pris dans le tourment de l’histoire-celle avec sa grande hache dont parlait Perec- est resté libre jusqu’au bout des ongles

Retour sur le déchaînement de haines antisémites qui s’est produit l’été 2014, en France.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

Suite à mon élection à la Présidence du Crif, j'ai répondu aux questions de Paul Amar, sur tous les sujets de préoccupations des Juifs de France.

J'ai été interviewé par Marc-Olivier Fogiel et Eléanor Douet, sur RTL, lundi 30 mai 2016, à la suite de mon élection à la Présidence du Crif.

Pages

Dimanche dernier, des militants du Collectif Anti Boycott se sont rendu face à une manifestation BDS.

 
Depuis que l'état d'urgence a été décrété, le vœu de la mairie de Paris prononcé, quels ont été les changements concernant les rassemblements BDS ?
Une militante a été arrêtée et entendue par la police. 
Des activistes ont été forcés de retirer leurs sweat shirts appelant au boycott en plein rassemblement. 
 
C'est un bon début. 
 
Néanmoins, et comme si de rien n'était, les rassemblements BDS continuent à Paris. Place Saint Michel le week-end, place de la République, place des Innocents (sic)... Ces ennemis d'Israël continuent à pavoiser comme si le vœu de la Mairie de Paris ou les lois anti boycott n'existaient pas, sans parler de l'état d'urgence. 
 
Alors les militants ont décidé de s'en mêler. 
 
Les boycotteurs manifestent ? Allons-y aussi. 
 
Avec Stop Boycott, nous nous sommes rendus en septembre face au BDS qui voulait perturber un match de basket, prouvant que leur action dépasse largement les "sanctions économiques visant à pénaliser les entreprises situées en territoires disputés". 
 
Suite aux différentes résolutions anti boycott adoptées et le fait que les rassemblements continuent, les militants se sont organisés et mobilisés. 
Cela a commencé il y a quelques semaines Place d'Italie avec des militants venus "contre tracter" face à des militants boycotteurs qui se sont liquéfiés sur place. Cela a continué avec Leslie, qui s'est filmée en prenant à partie les manifestants qui ont cherché à l'intimider aussi bien sur place que par la suite (des dizaines de menaces reçues après cette vidéo). 
Il y a eu aussi des vidéos humoristiques tournées lors de leurs rassemblements, qui sont devenues cultes sur les réseaux sociaux. 
Et dimanche, des militants du "collectif anti boycott"  ont décidé, dans le calme, d'aller à la rencontre des boycotteurs et de proposer un contre discours aux passants harangués par "les petits hommes verts". 
 
Aux contre vérités ânonnées jusqu'à la lie par les boycotteurs, les militants ont apporté un discours clair, argumenté, basé sur des faits. 
 
Continuons à leur apposer un discours de vérité. Ne les laissons pas occuper la rue, elle ne leur appartient pas. 
 
Mobilisons-nous !