C'est avec une profonde tristesse que nous avons appris la disparition d'Hubert Heilbronn, membre et ancien trésorier du Crif. Hubert Heilbronn était également vice-Président (1985-2008) et administrateur du Mémorial de la Shoah, commandeur de la Légion d'honneur et commandeur des Arts et des Lettres. Le Crif adresse ses condoléances à sa famille et à ses proches.
Jeudi 18 avril 2024, le Crif Alsace était présent devant le Conseil de L’Europe à Strasbourg pour rappeler le sort dramatique des otages, dont trois compatriotes français, raflés depuis plus de six mois par les terroristes.
Jeudi 18 avril 2024, la France a voté en faveur de la résolution présentée par l’Algérie au Conseil de Sécurité, proposant l’admission de la Palestine comme État membre de plein droit de l’Organisation des Nations Unies (ONU).
Retrouvez le 3ème Forum Générations de la Shoah du 18 au 20 mai 2024 au Mémorial de la Shoah — « Rires dans les larmes - Pour une mémoire toujours vivante ».
À l’occasion de la dernière session plénière du Parlement européen, les eurodéputés ont largement adopté une résolution contenant un appel à conditionner les financements européens alloués à l’éducation dans les territoires palestiniens à une refonte du curriculum scolaire.
Dans un communiqué de presse en date du 17 avril 2024, l’université de Lille a annoncé l’interdiction d’une conférence prévue dans ses locaux le jeudi 18 avril, estimant que « les conditions ne sont plus réunies pour garantir la sérénité des débats ».
C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la disparition lundi 15 avril 2024 de Gil Taieb, infatigable militant et défenseur d’Israël et de la communauté juive. Gil Taieb était vice-Président du Crif, du FSJU et Président de l’ABSI-Keren Or. De nombreux hommages lui ont été rendus.
C’est avec une profonde tristesse que nous avons appris la disparition lundi 15 avril 2024 de Gil Taieb, infatigable militant et défenseur d’Israël et de la communauté juive. Gil Taieb était vice-Président du Crif, du FSJU et Président de l’ABSI-Keren Or.
Dimanche 14 avril 2024, après les attaques de la République islamique d’Iran contre Israël, des associations iraniennes en France ont appelé au rassemblement pour dénoncer le régime des Mollahs.
Dans la nuit du samedi 13 avril au dimanche 14 avril 2024, la République islamique d’Iran a lancé plus de 300 drones et missiles contre l’État d’Israël. Il s’agit de la première attaque directe menée par l’Iran contre le territoire israélien. Le Crif apporte son entière solidarité avec Israël.
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.
Question :Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeauxorganisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?
Question : Vous avez été la rédactrice de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Ce travail rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. Quelles ont été vos sources, la méthodologie utilisée et comment ce projet a-t-il évolué ?