Actualités

Actualités
|
Publié le 11 Mars 2024

Le brief du Crif - 8 mars : le collectif Nous Vivrons Bordeaux rejeté de la manifestation féministe sous des drapeaux palestiniens et une banderole de « Gaza à la Gironde »

Vendredi 8 mars 2024, les militantes et militants du collectif Nous Vivrons Bordeaux ont du être exfiltrés, comme les membres du collectif Nous Vivrons à Paris, de la manifestation organisée dans le cadre de la journée des droits des femmes. Retrouvez dans cet article le communiqué de presse du collectif Nous Vivrons Bordeaux.
Actualités
|
Publié le 11 Mars 2024

Le Crif en action - Le Crif était présent à l'hommage national aux victimes du terrorisme à Arras, présidé par le Premier ministre

Cinq mois après l'assassinat par un terroriste islamiste de Dominique Bernard enseignant au lycée Gambetta à Arras, la cérémonie d'hommage national aux victimes d'attentats terroristes s'est déroulée pour la première fois en dehors de la capitale depuis l'instauration en 2020 par le Président de la République, Emmanuel Macron, d'un hommage de la Nation aux victimes d'attentats en France et aux victimes françaises d'attentats commis à l'étranger. Ariel Amar, membre du bureau exécutif du Crif, et Patricia Sitruk, membre du comité directeur du Crif, représentaient le Crif à cette cérémonie.
Actualités
|
Publié le 11 Mars 2024

Le brief du Crif - Journée internationale des droits des femmes : les femmes juives du collectif « Nous vivrons » empêchées de défiler

À l’occasion de la journée internationale des droits des femmes, le collectif « Nous vivrons » a participé, vendredi 8 mars 2024, à la grève féministe et répondu à l’appel des organisatrices de la marche à Paris. Très rapidement le cortège mené par le collectif pour porter la voix des victimes israéliennes des massacres du 7 octobre et des otages encore retenus dans la bande de Gaza, a du être exfiltré par les forces de l’ordre. Le cortège a été encerclé et a reçu « des insultes de partisans de la cause pro-palestinienne puis des jets de projectiles » comme l’a indiqué Laurent Nuñez, préfet de police de Paris.
Actualités
|
Publié le 11 Mars 2024

L'entretien du Crif - Caroline Yadan : notre texte renforce les sanctions pénales contre l’antisémitisme et le racisme

La députée de Paris Caroline Yadan (Renaissance) a porté une proposition de loi qui renforce des sanctions pénales contre les actes antisémites et racistes. Ce texte a été très récemment adopté en première lecture à l’Assemblée nationale, sans les voix de La France Insoumise (LFI), ni celles du Rassemblement national (RN). Avocate et juriste, cette parlementaire répond à nos questions et précise les importantes avancées de ce texte de loi qui doit permettre notamment à la justice de pouvoir ordonner des peines d’emprisonnement à l’encontre des auteurs de propos haineux, antisémites et racistes. La députée souligne par ailleurs l’infamie que constitue à ses yeux la présence sur la liste LFI des européennes de Rima Hassan, soutien du Hamas : « les Frères Musulmans et les organisations islamistes ont trouvé leur cheval de Troie dans la Mélenchonie », lance-t-elle.
Actualités
|
Publié le 8 Mars 2024

Le Crif en action - Le Crif Auvergne Rhône-Alpes soutient la mobilisation pour la libération des otages avec l'opération rubans jaunes

Le Crif Auvergne Rhône-Alpes (ARA) soutient l'initiative courageuse de plusieurs dizaines de bénévoles, dont certains font partie du comité directeur, mobilisés depuis plusieurs semaines en faveur de la libération des otages détenus par le Hamas, depuis cinq mois.
Actualités
|
Publié le 7 Mars 2024

Le brief du Crif - Adoption de la proposition de loi renforçant le dispositif pénal pour lutter contre le racisme et l’antisémitisme

Mercredi 6 mars, les députés ont adopté à l'Assemblée nationale la proposition de loi déposée par Mathieu Lefèvre et Caroline Yadan visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste ou antisémite.
Actualités
|
Publié le 6 Mars 2024

Le Crif en action - Cérémonie d’hommage à Samuel Sandler

Lundi 4 mars 2024, l’Association Cultuelle Israélite de Versailles et sa Région (ACIV) a organisé une cérémonie d’hommage à Samuel Sandler à la Synagogue de Versailles. Le Président du Crif était présent lors de cette cérémonie.
Actualités
|
Publié le 5 Mars 2024

Le Crif en action - Le Président du Crif a rencontré le Premier ministre

Lundi 4 mars 2024, le Président du Crif a rencontré le Premier ministre. Cette rencontre a été l'occasion d'échanger sur de nombreux sujets et notamment sur la question de la montée de l'antisémitisme en France.
Actualités
|
Publié le 5 Mars 2024

Le brief du Crif - 4 mars 2024 : un vote pour l'Histoire

Le 4 mars 2024, la France est devenu le premier pays au monde à inscrire la liberté des femmes à recourir à l'interruption volontaire de grossesse (IVG) dans sa Constitution.
Actualités
|
Publié le 4 Mars 2024

Le brief du Crif - Le Président du Crif s'indigne des propos tenus par Hubert Védrine

Dans une interview du 3 mars 2024, Hubert Védrine, ancien ministre des Affaires étrangères, a indiqué que des Juifs tuaient délibérément des enfants, et empoisonnaient des puits. Le Crif dénonce les propos tenus par Hubert Védrine, qui vont puiser dans les pires préjugés antisémites.
Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Yolanda Gampel* : «Dans la pratique thérapeutique psychanalytique, un des buts à atteindre devrait être la transformation de la survivance en un désir de vivre»

|
06 Février 2008
Question : Vous êtes psychanalyste en Israël. Dans votre pratique, vous recevez des enfants, des bébés, des parents en grande difficulté, qu’ils soient palestiniens ou israéliens. Pourriez-vous nous expliquer ce que vous faites ?

Dov Maimon rend hommage à l’Ambassadeur Jacques Huntzinger, défenseur du dialogue entre Chrétiens, Juifs et Musulmans

|
06 Février 2008
Question : Vous étiez ces derniers jours à Alexandrie, pour participer aux ateliers interculturels. De quoi s’agit-il ?

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

|
31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

|
28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

|
28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

|
23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Pages