Francis Kalifat

Ancien président

"Jews : The First Victims in an Anti-Semitic France" mon interview dans le Washington Post

12 October 2016 | 70 vue(s)
Catégorie(s) :
France

INTERNATIONAL - Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang, parce que l'Etat juif est (toujours) considéré et traité quelque part comme le Juif des Etats.
Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang, parce que l'Etat juif est (toujours) considéré et traité quelque part comme le Juif des Etats. Rappelons à ce sujet qu'une campagne BDS -pour Boycott-Désinvestissement-Sanctions- tente de s'implanter en France, en incitant à boycotter les personnes et les produits provenant de ce pays. Expliquons.


Artcile publié dans le Huffinghton Post http://www.huffingtonpost.fr/marc-knobel/boycott-produits-israeliens_b_7...

Un entretien entre Marc Knobel et Michaël de Saint Cheron, philosophe des religions.

Marc Knobel livre une analyse de l'opinion publique à l'égard de l'antisémitisme et d'autres sujets (avant et après les attentats de Janvier 2015).

Franck Guillory, journaliste, auteur et réalisateur de documentaires s'est rendu à Auswithz en Avril dernier, il nous raconte son expérience et ses souvenirs dans un article publié sur son blog.

Compte-rendu d'un magnifique livre de Benjamin Stora qui raconte son enfance juive à Constantine.

 

Des centaines de tombes ont été profanées au cimetière juif de Sarre-Union (Bas-Rhin), dimanche 15 février 2015, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué de presse

Neuf ans après l’assassinat d’Ilan Halimi, voici la « chronique d’une barbarie et de ses conséquences médiatiques, politiques et judiciaires »,  par Marc Knobel, historien, chercheur, directeur des Études du CRIF

 

Le Hors-série de L'Express numéro 28, "Regards sur l'Histoire" consacré aux Juifs de France a mis en émoi une partie de la communauté juive, François Heilbronn, professeur des universités associé à Sciences-Po Paris et Président des Amis français de l'université de Tel-Aviv lui a adressé deux lettres ouvertes publiées dans l'Arche.
 

 

 

Retour sur les événements qui sont intervenus en juillet 2014 et les manifestations propalestiniennes qui ont dégénéré.

L'antisémitisme est comme une bête particulièrement enragée et puante. Il rôde, nous ne le savons que trop bien...

Est-il pertinent de mettre en parallèle “antisémitisme” et “islamophobie”?
Non, cinq fois non:  Ni sémantiquement , ni historiquement,  ni sociologiquement, ni politiquement et encore moins juridiquement, ces deux termes et les deux concepts qu’ils sous-tendent, ne sont de même nature. Il serait non seulement faux, mais aussi dangereux pour tous, de les mettre en regard sur un même plan.

L'antisémitisme : les causes d'un Mal qui s'aggrave.

Ce dernier détaille ici les multiples racines de l’antisémitisme, qui a explosé en France à partir de l’année 2000 et la première « intifada ». Et qui s’est fortement aggravé tout au long de l’année dernière. Marc Knobel évoque notamment l’origine idéologique – soulignée et étudiée par le philosophe et chercheur Pierre-André Tagguief – d’un antisémitisme qui découle d’un antisionisme extrême, lui-même alimenté depuis longtemps par les tenants de l’islamisme radical. Extrême gauche et extrême droite française en passant par « Dieudonné and Co » sont aussi, historiquement et actuellement, parmi les premiers diffuseurs de la haine antisémite en France. Description et analyse en huit points.

"Dites-moi que ce furent des cauchemars, que le monde s'améliore de jour en jour, que des flammes de lumière jaillissent en chaque point du globe."

Article paru dans le HuffinghtonPost.fr

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Actualité

Sarah Halimi, une retraitée a été battue à mort à Paris, le 4 avril 2017 et son calvaire a duré plus d'une heure. Et, il s'agit bien d'un meurtre antisémite.

Thierry Noël-Guitelman est un journaliste, membre de l'association Hébraïca à Toulouse. Il a engagé, en 2004, des recherches familiales sur l'étoile jaune, sa tante Ida Seurat-Guitelman, ayant obtenu une exemption.

Gil Taïeb's picture
Nous sommes debout
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03 April 2017
Catégorie : France, Actualité, Opinion

Samedi 1er avril place du Châtelet se sont réunies une centaine de membres du Collectif Boycott Israël

Francis Kalifat, the Crif President gave a speech at the annual Crif's dinner 2017. 

Le judaïsme indien est assez méconnu en France. Pourtant, il est d'une implantation millénaire. Il y avait environ 35 000 Juifs aux Indes lors de la création de l'État d'Israël

Johnny est malade. Oui, le grand Johnny. Lundi, la fille de Johnny Hallyday avait annoncé que son père souffrait d'un cancer avant de crier au piratage de son compte. Ce mercredi soir, c'est finalement le chanteur lui-même qui prend soin d'envoyer un mot sur Twitter pour rassurer ces fans. Si on lui a dépisté « des cellules cancéreuses » pour lesquelles il est « traité », il assure être confiant sur son suivi. "Mes jours ne sont pas aujourd'hui en danger, rappelle L’Express du 9 mars.

Cela paraîtra peut-être étrange à certains de mes lecteurs, mais j’aime Johnny, j’aime son timbre de voix, j’aime aussi certaines de ces chansons, je suis presque, presque un fan.

Pourquoi dans cette affaire, est-ce Bensoussan qui seul est poursuivi en justice et non pas simultanément Smaïn Laacher ?

 
"La culture est ce qui a fait de l'homme autre chose qu'un accident de l'univers", déclarait André Malraux. C'est pour toutes ses vertus que la culture est grande et qu'elle reste et doit rester un rempart contre l'obscurantisme, le racisme, l'antisémitisme et l'homophobie. De chaque création artistique doit jaillir une lumière. C'est à cela que doit aspirer chacun de ceux qui ont le bonheur de pouvoir créer ou d'interpréter une oeuvre. 

 

"Le terrorisme et l'antisémitisme ont marqué cette année passée"

L’Amitié judéo-chrétienne de France - dont plusieurs militants du Crif sont membres du Comité Directeur - a tenu dimanche 29 janvier son Conseil national, l’occasion pour nous de donner quelques nouvelles du front du dialogue.

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Cette période de fêtes juives en France, rime aujourd'hui avec contrôles de sécurtié et détecteurs de métaux

By James McAuley
 

PARIS — The Jewish New Year is supposed to be a time of joy: apples and honey, family and faith.

But in France — home to Europe’s largest Jewish community — the High Holidays are also a time of metal detectors and full-body pat-downs, ID checks and security interviews on the streets outside synagogues.

In the France of 2016, this is the new normal. But contrary to widespread reports of a possible Jewish “exodus” from France to Israel, French Jews are still very much here, adjusting to a new, arbitrary terrorist threat that targets people not just because of their religion but even for the cafe terraces they choose.

“What’s important is to know that today — even if the Jews remain a target — they are not the only ones,” said Francis Kalifat, the president of the Representative Council of French Jewish Institutions, France’s largest Jewish advocacy organization.

For years, anti-Semitic violence has been a mainstay in French headlines: stabbings, shootings, slurs. After the January 2015 attack at a kosher supermarket outside Paris, Israel’s prime minister, Benjamin Netanyahu, urged French Jews to move to Israel.
 

ome did. In a community of roughly 600,000, about 8,000 decamped to the Jewish State last year, an all-time high.

Although many among that 8,000 left for reasons unrelated to anti-Semitism — economic prospects, retirement and rejoining family were all factors — the optics were terrible. In the eyes of the world, France, the first European country to recognize Jews as equal citizens, no longer seemed safe.

This was an idea widely disseminated in international media, especially in the United States. In a provocative April 2015 cover story largely focused on the situation in France, the Atlantic magazine went so far as to ask: “Is it time for the Jews to leave Europe?” Many began to think so.

But then there were the November attacks in Paris and the July attack in Nice, the deadliest on French soil since 1945.

The more than 200 victims murdered in both attacks were chosen entirely at random: teenagers who happened to buy tickets for a particular concert, children who happened to be watching fireworks on a seaside promenade.

Neither attack discriminated among victims; both posed an equal-opportunity threat. France today may not be safer for Jews, but it is now equally unsafe for everyone.

 

“For too long, French Jewry was denounced and disregarded by society at large, which tended to observe from faraway the victims of bombings and attacks,” says Haïm Korsia, France’s chief rabbi.

Immediately after the January 2015 attacks — on the Charlie Hebdo newspaper and the kosher supermarket — the French government created Operation Sentinel, a squadron of 10,000 heavily armed soldiers dispatched to guard sensitive sites. These included many Jewish schools, synagogues and community centers.

Almost immediately, military officials, analysts and some politicians criticized the operation as a costly expenditure without a clear mission.

“They thought they were not targets and could never be hit by such violence,” Korsia said. “But now that everyone is aware of being a potential target, I have the feeling that everyone became more responsible and caring about each other.”

In a time of nondiscriminatory attacks, a more united national community may be more than a political platitude. The mass “exodus” of French Jews never happened.

[A French synagogue is being converted into a mosque after Jews abandoned the neighborhood]

Immigration to Israel has significantly slowed this year — by some estimates as much as 40 percent. And some of those who left France are starting to come back.

In July, the French newspaper Le Monde released a lengthy investigative report suggesting that between 15 and 30 percent of French Jews who move to Israel end up returning to France every year. The actual figure remains unknown, as Israel does not keep statistics on those who leave.

In the words of one woman interviewed by Le Monde: “In Israel, I missed the idea of the Republic — meritocracy and the principle of equality. I realized in Israel that I was French before everything else, whereas before I had the impression of being Jewish first.”

Anti-Semitism in France has far from disappeared. A steady stream of small-scale attacks on religious Jews has continued despite the extensive security protections in place. In August, a 62-year-old Jewish man was stabbed in Strasbourg on a Friday night; in September, a car containing gas canisters was discovered outside a synagogue in Marseille.

“You shouldn’t be shocked,” Kalifat said. “We have a menace to protect against.” Hence the metal detectors and pat-downs during the High Holidays.

For Korsia, this is simply a fact of life, especially in a France increasingly in the crosshairs of the Islamic State.

“Yes, we would all like to be able to wander around, go to the service or drop the kids off at school without being escorted,” he said. “But as paradoxical as it can be, French Jews have gotten used to it.”

And now, so must all of France.

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