1. Georges-Elia Sarfati, vous êtes professeur des Universités, linguiste et philosophe du langage, spécialiste d’analyse des discours politiques. Vous venez de faire paraître un livre consacré à l’antisionisme. En quoi l’antisionisme constitue un discours à la fois accusateur et victimaire, à travers les amalgames qu’il effectue (« sionisme=fascisme », « sionisme=racisme » etc.) ? En quoi ce discours vise-t-il à diaboliser l’adversaire ?
Entretien avec Alain Pagès, professeur de langues et littérature françaises à l'université de Reims. Il dirige également la revue annuelle de la Société littéraire des Amis d'Emile Zola, Les Cahiers naturalistes et êtes un éminent spécialiste d'Emile Zola.