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Publié le 3 Mai 2016

Médias : le devoir de vigilance

La directrice de l'AJC Europe, Simone Rodan-Benzaquen, regrette l'approche souvent manichéenne de la presse dans le traitement du conflit israélo-palestinien.

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Publié le 3 Mai 2016

Jérusalem : l'Unesco trahit l'Histoire

L'avocat Gilles-William Goldnadel ne comprend pas le vote de la France.

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Publié le 2 Mai 2016

Ce que cache le boycott d’Israël

"La campagne BDS ne dissimule même plus son boycott général de l’Etat, commercial, universitaire, scientifique et culturel".

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Publié le 27 Avril 2016

Mais c’est bien sûr : le djihadisme, c’est la faute à la laïcité!

Les errements de la théorie de la "French connection".

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Publié le 26 Avril 2016

Gilles-William Goldnadel : "Ce qu'a fait l'État islamique avec ses mains à Palmyre et ailleurs, l'Unesco l'a fait d'un trait de plume"

Inventaire des renoncements multiples et quotidiens qui minent l'Europe.

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Publié le 25 Avril 2016

De la négation à la revendication des génocides

La répression de tous les négationnismes est légitime et nécessaire dans une société démocratique.

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Publié le 22 Avril 2016

Céline Pina et Fatiha Boudjahlat : "Tariq Ramadan ne mérite pas d'être français"

"Il n'est pas digne d'intégrer un pacte républicain sur lequel il ne cesse de cracher. Rejeter sa demande de nationalité poserait un acte politique fort". 

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Publié le 21 Avril 2016

"Une nouvelle configuration antisionniste"

Pierre-André Taguieff estime qu'il existe aujourd'hui une islamisation croissante de la judéophobie et de la cause palestinienne. Il dénonce le complotisme anti-sioniste.

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Publié le 20 Avril 2016

"Les idiots utiles de l'islamisme conquérant"

Deux auteures dénoncent les lâches complaisances de nos classes dirigeantes et de certains intellectuels.

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Publié le 19 Avril 2016

Finkielkraut : "Ma réponse à ceux qui m'ont expulsé de Nuit debout"

L'écrivain raconte l'agression verbale et les menaces dont il a été l'objet place de la République samedi soir.

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

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31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

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28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

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23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Hervé Rehby* : «L’exemple des Justes donne à réfléchir sur le principe de responsabilité, sur le rapport à l’Autre»

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22 Janvier 2008
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?

Hellen Kaufmann* : «Transmettre ces trésors d’humanité que sont les Justes est un devoir absolu»

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21 Janvier 2008
Question : Vous avez été la rédactrice de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Ce travail rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. Quelles ont été vos sources, la méthodologie utilisée et comment ce projet a-t-il évolué ?

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