Lydia Guirous en appelle au "réveil du citoyen de l'Occident" face à "l'obscurantisme islamique qui progresse rapidement". Un citoyen "anesthésié par l'individualisme narcissique et le matérialisme".
Alors que le débat est lancé dans plusieurs pays, et que tout et son contraire est déclaré, Gérard Loeb, point par point, démonte toutes les idées reçues sur l'abattage rituel. A lire pour comprendre !
L’historien spécialiste del' Algérie, qui préside le Musée de l’histoire de l’immigration, participera à la prochaine Convention du Crif, le 4 décembre 2016 à Paris. Il interviendra lors de la table ronde intitulée "Qui a peur de l’immigration ?".
Présidente de l'Observatoire international de la violence à l’école, Catherine Blaya pilote une grande enquête sur la propagande et la violence en ligne.
Question : Monsieur l’Ambassadeur de France en charge des droits de l’Homme, en charge également de l’antisémitisme, je vous remercie de me recevoir. Nous allons évoquer ensemble quelques sujets qui interpellent la communauté juive, au-delà, les citoyens que nous sommes. Commençons si vous le voulez bien, par tenter de définir votre engagement. Quel est-il ?
Question : Les propos de Georges Frêche sur Laurent Fabius, à qu'il a reproché d'avoir « une tronche pas catholique », ont déclenché un vent de protestation, aussi bien à gauche qu'à droite, jeudi 28 janvier. Vous connaissez Georges Frêche. Que pensez-vous de cette déclaration ?
Connaissez-vous la Coopération Féminine ? Oui, évidemment, tout le monde connaît vaguement la Coopération Féminine, cette organisation de femmes de la communauté qui s’occupe d’autres femmes, une organisation communautaire toujours prête à aider là où il faut. Voilà la preuve, vous connaissez mal la Coopération féminine, ou bien vous n’en connaissez qu’une toute petite partie ! En tout premier lieu, et, ce qui fait la force et l’originalité de cette organisation, tient en deux mots : bénévolat et formation. Les bénévoles sont la cheville ouvrière de la Coopération Féminine et la formation leur a donné l’occasion de cerner ce qu’elles voulaient et pouvaient faire et de pratiquer du bénévolat avec professionnalisme. Ces deux atouts fonctionnent depuis le début et se poursuivent toujours actuellement.
En 1971, vous avez réalisé votre premier film, « Pourquoi Israël », après avoir écrit pendant douze ans pour « Les temps modernes », la revue fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. S’agissait-il d’un élargissement nécessaire des espaces d’expression du journalisme ? D’ajouter l’image au mot écrit ?
Agressions verbales et physiques par dizaines, avalanches de lettres d’insulte, injures sous les préaux et dans la rue, dérapages dans les médias, sur les blogs… 2009 a été une année noire en matière d’antisémitisme en Suisse romande. Un « annus horribilis » avec une nette augmentation des actes visant la communauté juive, annonce en primeur à L’Hebdo Alain Bruno Lévy, le nouveau président de la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation (Cicad). «Même si notre analyse est encore en cours, nous avons déjà dénombré plus de 120 actes contre 96 en 2008», précise cet avocat genevois. «C’est de loin la pire année depuis 2003 et notre premier rapport sur l’antisémitisme en Suisse romande.» Interview.