L’écrivaine Yaël Pachet a envoyé le texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
La magie opère et comme par magie me voici transporté en un lieu d'une rare beauté, la Synagogue de la Ghriba, à Djerba, la plus vieille Synagogue d'Afrique du Nord, dit-on.
"On peut craindre que cet excès d’optimisme, légitimé par des analyses techniques sophistiquées, ne provoque une baisse de la nécessaire vigilance face au racisme, à l’antisémitisme et à la xénophobie".
Lorsqu'il leva la main droite et prononça le fameux «serment de fidélité», ce 17 avril 2009 dans un petit tribunal de Bridgeport dans le Connecticut, Faisal Shahzad, désormais citoyen des États-Unis d'Amérique, réalisait enfin le rêve américain. Il pourrait voter, faire venir des membres de sa famille du Pakistan et voir grand au pays de tous les possibles. Seules lui restaient interdites la présidence et la vice-présidence, réservées aux citoyens nés sur le sol américain.
Ce pourrait être l'histoire d'un tandem d'hommes de pouvoir, unis par une claire répartition des rôles : d'un côté le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, dont l'activité de globe-trotter est consacrée aux contacts avec les hommes d'Etat à travers le monde ; de l'autre, son premier ministre, Salam Fayyad, qui s'efforce de créer les conditions d'un futur Etat palestinien par une action concrète sur les plans économique et institutionnel.
Mardi 27 avril 2010, la diffusion sur France 2 d'un reportage des Infiltrés intitulé « A l'extrême droite du Père » a créé le scandale. L'enquête, en caméra cachée, est consacrée au fonctionnement d'un groupuscule d'extrême droite basé à Bordeaux, Dies Irae, dont les jeunes membres, qui disent se préparer à la guerre civile par un entraînement de type militaire, et par le noyautage de la société civile au travers de "pôles de résistance", se présentent comme catholiques.
Alors que vient de s’ouvrir à New York la Conférence d'examen du TPN, Ali Asghar Soltanieh, ambassadeur de la République islamique d’Iran auprès de l'Agence Internationale à l'Energie Atomique (AIEA), a répondu aux questions de lexpress.fr.