L’écrivaine Yaël Pachet a envoyé le texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
La magie opère et comme par magie me voici transporté en un lieu d'une rare beauté, la Synagogue de la Ghriba, à Djerba, la plus vieille Synagogue d'Afrique du Nord, dit-on.
"On peut craindre que cet excès d’optimisme, légitimé par des analyses techniques sophistiquées, ne provoque une baisse de la nécessaire vigilance face au racisme, à l’antisémitisme et à la xénophobie".
« J'essaie de mettre en relation les communautés juives d'Asie, ces petites poches de vie juive », c'est l'objectif que s'est fixée Erica Lyons, la jeune américaine qui a créé en 2010 La vie juive d'Asie, un magazine de langue anglaise diffusé à 6000 exemplaires en Asie, auprès des ambassades israéliennes, sur les vol d'El Al ou auprès des institutions juives du continent.
Phénomène aux multiples implications politiques, sociales, économiques, juridiques et morales, la Shoah signifie l’extermination par le régime nazi et les régimes qui ont collaboré avec celui-ci, pendant la Deuxième Guerre mondiale, de six millions de Juifs. L’anéantissement de près des deux-tiers du judaïsme européen a été précédé, dans tous les pays conquis ou alliés du Troisième Reich, par des persécutions méthodiques infligées aux Juifs, une législation discriminatoire, la perte des droits civils, l’exclusion des professions, la spoliation des biens, l’astreinte aux travaux forcés, les déportations et l’internement dans des camps. Ce système d’avilissement et d’ostracisation a été imposé également aux Juifs de Roumanie qui ont subi le premier massacre gigantesque des années de „nuit et brouillard”. En effet, le début de la guerre contre l’URSS et la participation à ce conflit de la Roumanie aux côtés de l’Allemagne nazie, a eu des conséquences tragiques pour les Juifs de Iasi, victimes d’un pogrom organisé et perpétré dans les journées 28-30 juin 1941, par les autorités locales sur l’ordre du gouvernement de Bucarest et du général Ion Antonescu, et avec la participation des militaires allemands présents dans la ville.
De ce qui fut la plus belle synagogue de la capitale Libyenne, il ne reste rien. On y entre aujourd’hui en se faufilant à travers a trou qui déchire des murs noircis, puis en grimpant sur des tas de poussière et en empruntant un escalier où traînent des chaussures abandonnées jusqu’à un espace envahi par les pigeons. La synagogue Dar al-Bishi fut autrefois le centre d’une communauté juive prospère, dont les vestiges furent mis au jour il y a plusieurs décennies, aux premiers temps du régime de Mouammar Khadafi.
À l’invitation de Charles Aznavour, ambassadeur, délégué permanent de la République d’Arménie auprès de l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture et de S.E. Viguen Tchitetchian, ambassadeur de la République d’Arménie en France, une exposition intitulée « L’Art des Khatchkars-Croix de pierre arméniennes » a été inaugurée le mardi 15 juin 2011 dans les salles Miro de la Maison de l’Unesco en présence de la vice-ministre arménienne de la Culture, Madame Arev Samuelian. L’exposition durera jusqu’au 24 juin 2011.
Le Liban s'est doté lundi 13 juin 2011 d'un nouveau gouvernement dominé par le puissant Hezbollah et ses alliés. Interview du spécialiste Antoine Sfeir.