Mercredi 24 avril 2013

Ce qui nous réunit autour de la famille de François Jacob que je salue, c’est le deuil, c’est la peine ; mais c’est aussi une fierté, surtout la fierté. Car François Jacob était un grand homme, un homme exceptionnel qui a donné à notre pays tant de raisons de croire en lui-même.

UN Watch, 23 avril 2013

Dans une lettre adressée lundi 22 avril 2013 au Secrétaire général des Nations Unies Ban Ki-moon ainsi qu'à l'ambassadrice américaine Susan Rice (rapportée ci-dessous), UN Watch a exigé la condamnation de Richard Falk, rapporteur spécial des Nations Unies suite à ses dernières remarques rejetant la faute des attaques terroristes de Boston sur la politique étrangère américaine et sur Tel-Aviv. 

MEMRI Middle East Media Research Institute - dépêche spéciale n° 5272

Le 12 avril 2013, le site salafiste djihadiste Minbar Al-Tawhid Wal-Jihad (MTJ) publiait une fatwa sur l’autorisation de bombarder des synagogues et des églises. La fatwa, émise par le cheikh Abou Moundhir Al-Shinqiti via le site du Comité de la Charia, a été publiée en réponse à une question posée par un lecteur, nommé Al-Assad Ma´arik, portant spécifiquement sur le bombardement « de maisons de culte juives dans les pays européens ». 

Communiqué de la Présidence de la République

Le président de la République, François Hollande, préside, ce mercredi 24 avril 2013, à 11h30 aux Invalides, la cérémonie nationale d’hommage à François Jacob.

Mardi 23 avril 2013 au matin un Rabbin et son fils sur le chemin de la synagogue Beth-EL rue Saulnier ont été violemment attaqués au cutter par un homme. Blessés et paniqués, ils essaient de se défaire de l’emprise de l’agresseur et courent se réfugier dans la synagogue. L’agresseur les suit, franchit les trois premières marches de la synagogue et devant la panique et les cris qui commencent à fuser à la vue du sang des victimes, il s’enfuit.  Deux livreurs présents dans la rue le stoppent et l’immobilisent en attendant l’arrivée de la police.

Par Benoît Lagarrigue

Il a choisi d’enseigner l’histoire à des ados du 93, avec la conviction de l’utilité de son métier. Et, à la demande du Mémorial de la Shoah de Paris, forme les enseignants sur l’histoire du génocide juif.

Cela fait 14 ans, dont 13 au collège De-Geyter, qu’il enseigne à Saint-Denis. Parisien issu d’une famille d’immigrés hongrois dans les années 1930, Iannis Roder, prénommé ainsi en hommage à Xenakis, s’est très tôt intéressé à l’histoire. « Vers 6 ou 7 ans, je me suis plongé dans une BD sur la Révolution. Ce fut pour moi un révélateur. »