Question : Yigal Palmor, vous avez été Conseiller à l’information à l’ambassade d’Israël en France pendant cinq années et vous venez de quitter cet été votre poste. Vous vous retrouvez en Israël et êtes à l’heure actuelle Directeur Adjoint du Département des Organisations multilatérales européennes au Ministère des Affaires étrangères, à Jérusalem. Quel regard portez-vous sur votre pays, depuis votre retour ?
Question : Raphaël Draï, vous êtes professeur à l’Université d’Aix-Marseille. Vous venez de publier « Sous le signe de Sion. L’antisémitisme nouveau est arrivé » aux Editions Michalon (2002). Ce livre est-il un livre d’urgence pour ne pas taire ce qui doit être dit ?
1. Georges-Elia Sarfati, vous êtes professeur des Universités, linguiste et philosophe du langage, spécialiste d’analyse des discours politiques. Vous venez de faire paraître un livre consacré à l’antisionisme. En quoi l’antisionisme constitue un discours à la fois accusateur et victimaire, à travers les amalgames qu’il effectue (« sionisme=fascisme », « sionisme=racisme » etc.) ? En quoi ce discours vise-t-il à diaboliser l’adversaire ?
Entretien avec Alain Pagès, professeur de langues et littérature françaises à l'université de Reims. Il dirige également la revue annuelle de la Société littéraire des Amis d'Emile Zola, Les Cahiers naturalistes et êtes un éminent spécialiste d'Emile Zola.