Le CRIF en action

Le CRIF en action
|
Publié le 19 Novembre 2014

Vidéo AKADEM : Antoine Sfeir aux Amis du CRIF

Le campus numérique Juif AKADEM vient de publier la vidéo de la rencontre entre Antoine Sfeir et les Amis du CRIF, que vous pourrez voir ou revoir en cliquant ICI.

Le CRIF en action
|
Publié le 19 Novembre 2014

VIDÉO : Roger Cukierman réagit à l'attentat à Jérusalem

Après l'attentat de ce matin à Jérusalem, Roger Cukierman Président du CRIF réagit.

Le CRIF en action
|
Publié le 18 Novembre 2014

La commission « Relations avec les élus locaux » a reçu Abdelhak Kachouri

Réunie mercredi 12 novembre 2014, la commission « Relations avec les élus locaux » du CRIF, présidée par Bernard Gahnassia a reçu Monsieur Abdelhak Kachouri.

Tête de liste aux élections régionales en 2010 dans son département de Seine Saint-Denis, il a été nommé vice-Président du Conseil régional d’Ile-de-France. 

Le CRIF en action
|
Publié le 18 Novembre 2014

La 5ème Convention du CRIF dans la presse : Tribune Juive

Par Brigitte Thévenot, publié dans Tribune Juive le 17 novembre 2014

L’antisémitisme en France est-il un mal profond ? Vaste sujet, difficile autant que sensible, que la 5ème Convention nationale du CRIF qui se tenait dimanche 16 novembre avait choisi de poser. Pour tenter d’y apporter une réponse, deux analystes de grand talent, le politologue Dominique Reynié et le philosophe et académicien Alain Finkielkraut.

Le CRIF en action
|
Publié le 18 Novembre 2014

Succès de la 5ème convention nationale du CRIF

Près de 1200 personnes ont assisté dimanche 16 novembre 2014 aux conférences de la 5ème Convention nationale du CRIF. Des personnalités de premier plan ont débattu toute la journée sur des sujets variés. La conférence plénière du matin a été un moment très fort avec la présentation par Dominique Reynié des résultats de l'enquête sur l'antisémitisme en France réalisée par Fondapol, après laquelle a eu lieu un débat avec Alain Finkielkraut. 

Le Grand Rabbin de France, Haim Korsia, a débattu avec Luc Ferry, de l’état de la société française et des raisons d’espérer. Cette Convention a permis beaucoup d'échanges de qualité et de discussions parfois enflammées sur des sujets sensibles. Le Président du CRIF, Roger Cukierman, a conclu la journée avec Bernard Henri Lévy, sur la question  "Heureux comme un Juif en France ?".

Le CRIF en action
|
Publié le 17 Novembre 2014

Roger Cukierman : «L'antisémitisme pousse les enfants juifs à quitter l'école républicaine»

Publié dans le Figaro le 17 novembre 2014

Une enquête de la Fondapol révèle que les préjugés antisémites sont bien plus marqués chez les Musulmans. A-t-on laissé prospérer ce que l'on appelle l'antisémitisme des banlieues?

Roger Cukierman, Président du CRIF: Tout d'abord je tiens à dire que cette étude, et j'en suis heureux montre que la France n'est pas antisémite et qu'elle est hermétique au négationnisme. Mais il y a deux groupes qui posent problème: les Musulmans et le Front national.

Le CRIF en action
|
Publié le 14 Novembre 2014

Antoine Sfeir reçu par les Amis du CRIF le 5 novembre

Devant plus de 300 personnes, au cours d'une conférence-débat intitulée "Des printemps arabes aux hivers islamistes?", animée par le journaliste Paul Nahon, Antoine Sfeir a livré son expertise sur la situation actuelle au Moyen-Orient.

Il a précisé les frontières entre islam et islamisme ainsi qu'entre islamiste et salafiste. Les influences changent au Moyen-Orient. Selon lui, demain la région sera dirigée par Israël, l'Iran et la Turquie. L'Arabie saoudite va perdre son influence."

Le CRIF en action
|
Publié le 14 Novembre 2014

Conférence de l'OSCE contre l’antisémitisme: "Résultats très mitigés, climat peu optimiste"

Le mercredi 12 novembre et le jeudi 13 novembre 2014, le Président du CRIF Roger Cukierman, accompagné par Eve Gani, Directrice des relations internationales, était à Berlin pour le dixième anniversaire de "la déclaration de Berlin" qui avait marqué la reconnaissance par les 57 pays de l'Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe de la résurgence de l'antisémitisme. Le Secrétaire d'État chargé des affaires européennes, Harlem Désir, représentait la France. Ron Refaeli, Directeur du Service de Protection de la Communauté juive et Sacha Reingewitz, Président de l’UEJF, étaient également présents pour commenter la situation française.

Le CRIF en action
|
Publié le 7 Novembre 2014

Un Coeur pour la Paix a l'Hôtel de Ville

Par Jean-Pierre Allali, membre du Bureau exécutif du CRIF

Pour la deuxième année consécutive, l'association « Un cœur pour la paix » que préside le Docteur Muriel Haïm a organisé son dîner de gala dans les salons de l'Hôtel de Ville en présence de plusieurs centaines d'invités.

L'association « Un cœur pour la paix » a pour objectif de rapprocher les peuples israélien et palestinien par des actions de santé et d'éducation. 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Un accord qui «ne résout rien sur le fond»

|
18 Mai 2010
François Géré, directeur de recherches à l'Université Paris III et président fondateur de l'IFAS (Institut français d'analyse stratégique), revient, dans nouvelobs.com, sur l'accord Turquie-Brésil-Iran sur le nucléaire, annoncé lundi 17 mai 2010.

Que signifie l'accord sur le projet d'échange de combustible nucléaire entre l'Iran, la Turquie et le Brésil ? Prévoit-t-il l'abandon de nouvelles sanctions du Conseil de Sécurité de l'ONU à l'encontre de Téhéran ?

Il a deux conséquences à court terme : le report - et non l'abandon - des sanctions de l'ONU, et l'éloignement de la menace d'un Iran qui enrichit lui-même son uranium pour le réacteur de recherche nucléaire de Téhéran. Mais l'accord ne fait que reporter le problème, il ne résout rien sur le fond. Il prévoit uniquement l'envoi de 1.200 kg d'uranium enrichi à 3,5% en Turquie, qui est le total fixé en octobre 2009. Depuis, les Iraniens ont continué à enrichir de l'uranium et disposent de bien plus des 1.200 kg qu'ils s'engagent à envoyer. L'accord ne garantit pas qu'à chaque fois que l'Iran reconstitue son uranium, il l'enverra en Turquie. Le pays ne s'engage pas non plus à arrêter d'enrichir lui-même de l'uranium. Dans six mois, on pourrait se retrouver dans la même situation qu'aujourd'hui et arriver à une tonne d'uranium enrichi sur le territoire iranien.

Sur quoi l'accord peut-il déboucher ?

L'accord ouvre néanmoins la porte à un nouveau dialogue. Le gouvernement iranien indique qu'il veut reprendre le dialogue avec les 5+1 mais l'obtention d'un accord satisfaisant s'annonce difficile. Le Brésil et la Turquie viennent s'ajouter, avec la Russie et à la Chine, à la liste des pays qui s'opposent à des sanctions contre Téhéran. Cela fait quatre pays qui seraient contre de nouvelles sanctions, contre quatre autres qui seraient pour. La position diplomatique de l'Iran semble renforcée. Les grandes puissances sont maintenant dans l'attente de propositions sérieuses, constantes et crédibles de la part de Téhéran.

En quoi cet accord entre l'Iran, la Turquie et le Brésil est une médiation de "la dernière chance", comme l'ont qualifié Washington et Moscou ?

Cet accord était la dernière étape avant de nouvelles sanctions prises par le Conseil de Sécurité de l'ONU à l'encontre de Téhéran. Les Iraniens ont réussi à monter un accord qui dans l'état actuel, désamorce le processus grave qui était engagé et reporte de possibles sanctions à leur égard.

La Chine, qui a pris part aux discussions sur de nouvelles sanctions éventuelles, a-t-elle joué un rôle particulier dans la signature de l'accord avec le Brésil et la Turquie ?

La Chine a clairement poussé l'Iran à lâcher du lest. Pékin est très favorable à une entente sur la question du nucléaire iranien et la position chinoise est de dire qu'il y a de la place pour un accord. La Chine a un rôle de coéquipier.

De son côté, Israël a accusé Téhéran de manipulation en faisant semblant d'accepter un enrichissement de son uranium en Turquie. Ces accusations sont-elles fondées ?

Les Israéliens n'ont pas confiance. La position d'Israël est de dire à Téhéran : "On n'y croit pas, vous ne cherchez qu'à reporter les sanctions". Pour l'instant, l'Iran n'a fait que menacer d'enrichir son uranium à 20% mais n'a pas encore commencé à le faire. La peur d'Israël est que l'Iran enrichisse son uranium à plus de 20%. Si les Iraniens renoncent à démarrer l'enrichissement, cela écarte une échéance dangereuse.

Photo (François Géré) : D.R.

L'accord sur le nucléaire iranien "ne résout rien sur le fond" (nouvelobs.com)

Quand Shanghaï était aussi juive..., par Bruno Philip

|
10 Mai 2010
Albert Londres, mort dans le paquebot qui le ramenait de Chine en France, disait de Shanghaï qu'elle était "de mère chinoise, de père américano-anglo-franco-germano-hollando-italo-nippon-judéo-espagnol". A l'heure où la mégapole brille de tous ses feux pour cause d'Exposition universelle, on avait peut-être un peu oublié, entre autres identités, le passé juif de celle qui fut le cosmopolitisme fait ville.

Georges Bensoussan : «Depuis quand choisit-on son ennemi et son partenaire pour négocier ?»

|
10 Mai 2010
Pourquoi avez-vous signé "l’appel à la raison" de JCALL ?

Faisal Shahzad, du rêve américain au terrorisme

|
06 Mai 2010
Lorsqu'il leva la main droite et prononça le fameux «serment de fidélité», ce 17 avril 2009 dans un petit tribunal de Bridgeport dans le Connecticut, Faisal Shahzad, désormais citoyen des États-Unis d'Amérique, réalisait enfin le rêve américain. Il pourrait voter, faire venir des membres de sa famille du Pakistan et voir grand au pays de tous les possibles. Seules lui restaient interdites la présidence et la vice-présidence, réservées aux citoyens nés sur le sol américain.

Tensions à la tête de l'Autorité palestinienne

|
06 Mai 2010
Ce pourrait être l'histoire d'un tandem d'hommes de pouvoir, unis par une claire répartition des rôles : d'un côté le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, dont l'activité de globe-trotter est consacrée aux contacts avec les hommes d'Etat à travers le monde ; de l'autre, son premier ministre, Salam Fayyad, qui s'efforce de créer les conditions d'un futur Etat palestinien par une action concrète sur les plans économique et institutionnel.

Netanyahu à ABC News : Nous ferons face aux extrémistes et, finalement, nous les vaincrons

|
06 Mai 2010
(Transcription et traduction, par France-Israël, d’une grande interview accordée à la chaine ABC par Benjamin Netanyahu, le 19 avril 2010)

Pages