Le bulletin d’informations de la TV de l’Autorité palestinienne (AP) a consacré tout une séquence à Palestinian Media Watch, affirmant que PMW « surveille tout ce qui est grand et petit dans les médias palestiniens ». Il a attaqué PMW, définissant son site Internet comme « de l’incitation ».
Dans une colonne publiée dans le Washington Post, le juge Goldstone, responsable d’un rapport d’enquête anti-israélienne pour le compte de l’ONU, pense aujourd’hui qu’il est temps de « reconsidérer » ses conclusions. « Ce que nous savons aujourd’hui n’a plus rien à voir avec ce que nous savions à l’époque », explique-t-il.
La directrice exécutive adjointe de l'UNICEF, Hilde F. Johnson, a appelé lundi 28 mars 2011 à déployer davantage d'efforts pour améliorer les conditions de vie des enfants au Sud Soudan.
Dans une interview accordée à la 2e chaîne israélienne le 19 mars dernier, le chef de l'Autorité palestinienne (AP) Mahmoud Abbas a condamné le fait que les Palestiniens nomment une place d'après Dalal Mughrabi, la terroriste qui avait mené l'attentat terroriste le plus meurtrier de l'histoire d'Israël.
À Manhattan, les promeneurs du Washington Square Parc ont assisté à une scène surprenante le 28 mars : une foule se ruant dans un abri en entendant une sirène digne d’un film de guerre. Un attentat terroriste ? Pas tout à fait.
Samedi 26 mars 2011, le quotidien argentin Perfil a publié une information inquiétante. Le journaliste Pepe Eliaschev y affirmait que l’Argentine s’était engagée dans un processus de négociation avec l’Iran pour abandonner toutes poursuites contre les responsables de l’attentat de l’Ambassade d’Israel à Buenos Aires de 1992 et du centre communautaire israélite de l’AMIA en 1994, en contrepartie du développement des relations commerciales en faveur de l’Argentine, un pays très fortement endetté. Cette négociation secrète aurait été entreprise les 23 et 24 janvier dernier dans la ville syrienne de Alep par le ministre des affaires étrangères argentin Hector Timerman, avec le président syrien Bashar El Asad et son ministre Walid al-Mohalem.