En apprenant que des militants syriens ont participé à la “flottille pour la liberté”, certains pourraient croire qu’ils n’ont rien d’autre à faire que s’occuper des problèmes des autres sans doute parce qu’il n’en existe aucun dans leur propre pays. En apprenant qu’après avoir été relâchés par Israël et expulsés vers la Jordanie, ils ont été accompagnés jusqu’à la frontière syrienne par leur ambassadeur en poste à Amman, certains pourraient croire que Damas se soucie du sort de chacun de ses ressortissants, protège sa sécurité et assure son bien-être où qu’il se trouve et quels que soient ses ennuis. En apprenant que les ministres de l’Information et des Affaires étrangères étaient en contact permanent avec eux, dès leur libération et jusqu’à leur retour à la maison, certains pourraient croire qu’un tel gouvernement fait preuve d’une prévenance sans égale vis-à-vis de ses citoyens. Quand c’est le président Bachar El-Assad en personne qui les reçoit dans son palais afin de s’enquérir en détail de ce qu’ils ont subi de la part des sauvages tortionnaires israéliens, alors, là, on ne peut qu’envier les Syriens pour la considération dont ils jouissent.
« La Licra a poursuivi Dieudonné M'Bala M'Bala pour avoir tenu à son sujet dans le journal l'union les propos suivants : « Ce sont des associations mafieuses qui organisent la censure. Je pense que ce sont des organisations qui nient tous les concepts du racisme à part celui qui concerne les Juifs. En fait, ce ne sont que des officines israéliennes ».
Cracovie, dimanche 27 juin 2010. L’ancienne capitale de la Pologne brille de mille feux sous un soleil éclatant. La vieille ville, avec sa légendaire place du marché, le Rynek, bouillonne d’activité. Par milliers, les touristes déambulent dans les rues piétonnes à la rencontre d’un patrimoine architectural particulièrement riche. Les calèches à chevaux disputent l’espace exigu encore disponible aux voiturettes électriques qui ont remplacé les taxis. Dans le quartier juif de Kazimierz, les restaurants de « jewish food » ne désemplissent pas. Le fameux « Ariel » propose chaque soir des repas « typiques » agrémentés par un remarquable ensemble klezmer.
"Le retour [de la Syrie] sur la scène politique libanaise intervient lentement mais sûrement, par le biais de ses alliés dans [le pays], dont le nombre augmente et dont la voix se fait de mieux en mieux entendre. Elle retrouve son influence [sur le Liban] tranquillement et sans recourir à la force [militaire], plaçant davantage [l’accent] sur la diplomatie que par le passé..." [1] C’est ainsi que le chroniqueur Emile Khouri décrit la réalité libanaise dans Al-Nahar, quotidien libanais proche des Forces du 14 mars.
Le Hezbollah libanais, contrôlé par l’Iran et la Syrie, fait cause commune avec Al-Qaïda et les autres groupes terroristes à travers le monde arabe et islamique, et sans doute au-delà. L’un de ses combattants a été tué la semaine dernière dans un bombardement américain de positions d’Al-Qaïda au Pakistan. L’agence de presse allemande DPA (Deutsche Presse-Agentur), affirme en effet que Mohammad Ali Hamadeh a trouvé la mort, en fin de semaine dernière, dans le Waziristan, au nord du Pakistan.