Au cours de notre voyage à Washington au cours de la semaine dernière, mon ami Paul Schapiro, directeur de recherches au Musée de l'Holocauste, m'a parlé de la publication d'une nouvelle encyclopédie des ghettos polonais pendant la guerre. Il s'agit d'un travail considérable effectué en utilisant des informations données par des historiens dont certains sont des amateurs qui ont effectué un travail de collecte et de recherches s'appliquant à une ville ou à un village particulier. Cette méthode a permis d'étendre considérablement les connaissances sur l'extermination des Juifs de Pologne. On n'imaginait pas le nombre considérable de ghettos organisés dans le pays. L'article du Washington Post ci-après donne un aperçu de cette publication.
L’Union des Etudiants Juifs de France recevait du 22 au 29 avril 2012 une délégation de 10 étudiants israéliens, afin de les emmener pour un tour de France des universités et des écoles. Ces étudiants, membres d’une initiative bénévole « What IsRael », venaient de différents horizons et partageaient différents points de vue qui reflètent la richesse de la société israélienne. Le but de ce projet était de créer un échange direct et constructif entre étudiants français et étudiants israéliens au sujet d’Israël et de la vie quotidienne de ses habitants, afin de mettre fin aux clichés et aux fantasmes.
Une mosaïque lumineuse rappelant le destin tragique de six personnes dont quatre enfants a été réalisée à la Terrasse en Isère dans la cour de l'école jouxtant la Mairie.
Une société israélienne a conçu une minuscule capsule que vous pouvez avaler et qui détecte sans douleur des polypes quand elle parcourt le colon.
En février 2012, l’initiative de GE (General Electric) Healthymagination à 6 milliards de dollars a lancé le premier projet israélien : une solution révolutionnaire pour le dépistage du cancer colorectal. « Une des raisons pour lesquelles tant de gens meurent du cancer du côlon, bien qu’il soit relativement facile à guérir, parce qu’ils veulent éviter la procédure de coloscopie embarrassante et envahissante, » explique Guy Neev, le Directeur General de Check-Cap, qui a conçu une capsule injectable qui prend des clichés de rayons X de 360 degrés du côlon quand elle se déplace à travers le trajet gastro-intestinal. « La capsule va à l’intérieur de l’organisme durant quelques jours et elle est conçue pour détecter les polypes cliniquement significatifs avec la même gamme de précision qu’une coloscopie standard », explique-t-il.
Mis à l’honneur par un feuilleton du JT de France 2, des dizaines de petits-enfants de Justes ont également marqué les esprits de cinq soldats franco-israéliens servant dans les rangs de Tsahal qui ont eu la chance de les rencontrer à Tel-Aviv.
Une société de courtage en Israël a décidé de remettre 100 000 dollars aux familles des trois enfants juifs et du professeur d'Ozar Hatorah ainsi qu'aux familles des trois militaires abattus par Mohamed Merah à Montauban et Toulouse. Cette somme d'argent sera divisée en cinq parts égales. C'est un des messages portés hier par Nathan Sharansky, président international de l'Agence Juive, et Pierre Besnainou, président du Fonds Social Juif Unifié (FSJU). Ces deux éminents représentants de l'organisme israélien étaient en visite hier au lycée Ozar Hatorah. Les lycéens n'avaient pas cours, mais une dizaine d'étudiants, représentants d'associations juives ont longuement parlé avec eux, évoquant notamment le sens des valeurs humaines. Yaakov Monsonego, le directeur du lycée, dont la petite fille a fait partie des victimes, était présent ainsi que Nicole Yardeni, présidente régionale du CRIF et Pierre Lasry, représentant des parents d'élèves d'Ozar Hatorah. Nathan Sharansky et Pierre Besnainou ont aussi rencontré des petits de la maternelle et de l'école primaire, qui ont perdu leurs camarades de classe. « Cette visite de Nathan Sharansky, légende vivante qui a survécu à dix années de goulag dans l'ex-URSS, est un symbole fort », souligne Nicole Yardeni.