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Si l'intention d'Orange de se retirer de son partenariat avec la société israélienne Partner est confirmée, cela signifierait que cette société se soumet aux demandes de Boycott.
Ce serait contraire à la loi française qui interdit le Boycott, contraire à la liberté du commerce international, contraire à la politique du gouvernement français qui se veut l'ami de toutes les parties au conflit israélo-palestinien y compris Israël, contraire à la morale et l'éthique alors que la société Orange exerce son activité dans de nombreux pays qui n'ont aucun respect pour les droits de l'homme à la différence d'Israël, rare démocratie entre la Méditerranée et le Japon.
L'Etat français est actionnaire à 25 % d’Orange.
Le CRIF demande au Président d'Orange des clarifications sur sa volonté à poursuivre et approfondir les activités du groupe en Israël.