Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Isidore Aragones, Président de la délégation du CRIF Marseille – Provence : « Cette année, s’agissant du dernier dîner du CRIF que je préside (dans ma région), je voulais rendre hommage à tous ceux qui ont soutenu le combat du CRIF… »
Dans un entretien accordé dimanche 31 janvier à Philippe Baverel et Henri Vernet d’Aujourd’hui-le Parisien, Richard Prasquier fait le point, quelques jours avant le diner du CRIF
Question : Monsieur l’Ambassadeur de France en charge des droits de l’Homme, en charge également de l’antisémitisme, je vous remercie de me recevoir. Nous allons évoquer ensemble quelques sujets qui interpellent la communauté juive, au-delà, les citoyens que nous sommes. Commençons si vous le voulez bien, par tenter de définir votre engagement. Quel est-il ?
Question : Les propos de Georges Frêche sur Laurent Fabius, à qu'il a reproché d'avoir « une tronche pas catholique », ont déclenché un vent de protestation, aussi bien à gauche qu'à droite, jeudi 28 janvier. Vous connaissez Georges Frêche. Que pensez-vous de cette déclaration ?
Connaissez-vous la Coopération Féminine ? Oui, évidemment, tout le monde connaît vaguement la Coopération Féminine, cette organisation de femmes de la communauté qui s’occupe d’autres femmes, une organisation communautaire toujours prête à aider là où il faut. Voilà la preuve, vous connaissez mal la Coopération féminine, ou bien vous n’en connaissez qu’une toute petite partie ! En tout premier lieu, et, ce qui fait la force et l’originalité de cette organisation, tient en deux mots : bénévolat et formation. Les bénévoles sont la cheville ouvrière de la Coopération Féminine et la formation leur a donné l’occasion de cerner ce qu’elles voulaient et pouvaient faire et de pratiquer du bénévolat avec professionnalisme. Ces deux atouts fonctionnent depuis le début et se poursuivent toujours actuellement.