Dimanche 27 avril 2025, était organisé au Site-mémorial du Camp des Milles, au Wagon du Souvenir des Milles, une cérémonie à l'occasion de la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation devant un public nombreux.
Le Crif Alsace, avec le Consistoire israélite du Bas-Rhin et l’Union juive libérale de Strasbourg a organisé à Strasbourg une cérémonie pour Yom Hashoah le 27 avril 2025, en présence de plus d'une centaine de personnes et de nombreux élus locaux.
À partir de ce soir, mercredi 30 avril 2025, les Israéliens célèbrent Yom Haatsmaout, la fête nationale du pays, qui correspond à la date anniversaire de la création de l’État d’Israël et de la déclaration d’indépendance de 1948.
Mardi 29 avril 2025, le ministre Philippe Baptiste a officiellement lancé le nouveau programme de recherche sur l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur.
Lundi 26 mai 2025, les Amis du Crif vous propose un nouveau format. Cet événement s’ouvrira par un débat entre Guillaume Erner et Tristane Banon et sera suivie d’une interview politique de Louis Sarkozy, par Tristane Banon.
Yom Hazikaron, la journée du souvenir des soldats israéliens tombés au combat et des victimes du terrorisme débute mardi 29 avril au soir en Israël. Deux sirènes vont retentir dans le pays pour marquer un temps d'arrêt, s'immobiliser, respecter une minute de silence et se souvenir.
Si vous êtes témoin ou victime d’un acte antisémite, n’attendez pas : signalez-le immédiatement. Appelez le SPCJ au 0 800 18 26 26 (appel gratuit, disponible 24h/24 et 7j/7), ou effectuez votre signalement directement sur www.spcj.org.
La vice-présidente du Crif Nathalie Cohen-Beizermann a rencontré Jérôme Disle, directeur général de l’association Espoir 18, qui a récemment reçu le prix Ilan Halimi.
Le Crif était présent lundi 28 avril à la remise du rapport préparé par les groupes de travail dans le cadre des Assises de lutte contre l’antisémitisme initiées par Aurore Bergé, ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations. Une série de propositions ont été formulées à cette occasion.
Question : Du 7 au 11 novembre, l’Union des Etudiants Juifs de France a réuni à Strasbourg sa convention nationale, intitulée « Les Enfants de la République », sur le thème de la lutte contre le communautarisme. Plus de 300 étudiants, venus de toute la France ont débattu en présence de représentants de mouvements de jeunesse politiques (UMP Jeunes, UDF jeunes, MJS, SOS Racisme,…) autour des thèmes du communautarisme, de la laïcité et de la lutte contre l’extrémisme. Pourquoi avez-vous choisi de débattre de ces thèmes ?
Question : Vous publiez un ouvrage qui est particulièrement illustré et qui est consacré aux caricatures pour le moins agressives ou antisémites, qui ont été publiées par de grands quotidiens arabes, européens, américains et sur l’Internet, depuis le début de la seconde Intifada. Pourquoi ce livre ? Quel en fut le facteur déclenchant ?
Question : Monseigneur, il semble qu’il y ait une tradition séculaire qui veuille que dans la ville de Lyon, vos prédécesseurs aient joué un rôle particulier et de toute importance, dans les relations judéo-chrétiennes. Nous pourrions évoquer l’affaire Barbie, l’affaire du carmel d’Auschwitz ou, par exemple, la reconnaissance de l’état d’Israël par le Vatican. Comment expliquez-vous qu’il en ait été ainsi et que les autorités ecclésiastiques lyonnaises aient pu jouer un tel rôle ? Entendez-vous également œuvrer à votre manière et renforcer l’amitié judéo-chrétienne ?
Question : Vous avez dirigé un ouvrage collectif dont la presse s’est largement fait écho, Les territoires perdus de la République. Antisémitisme. Racisme et sexisme en milieu scolaire. Les enseignants qui ont accepté de collaborer témoignent de leurs difficultés respectives et de l’incroyable violence qui peut régner dans certains établissements scolaires. Cette violence est en partie dirigée contre des élèves ou des professeurs de confession juive. Vous semble-t-il que ce livre a permis de soulever le problème, de dénoncer l’incroyable permissivité qui règne ici ou là, et de stigmatiser les agressions antisémites qui sont perpétrées dans les collèges et lycées ?
"Sous l’Occupation, les trois quarts de la population juive métropolitaine ont échappé à la déportation et à la mort : ce ne fut pas uniquement grâce aux Justes, mais ils y ont joué un rôle majeur, notamment dans le sauvetage des enfants".
Question : Vous venez de publier « Une histoire personnelle de l’antisémitisme » (Editions Robert Laffont, 2003). Vous prévenez le lecteur que ce livre a moins pour objet d’expliquer la genèse de l’antisémitisme contemporain que d’en proposer un « état des lieux » correspondant à ce que vous avez pu observer, de la fin des années 70 à aujourd’hui. Le lecteur suit donc votre cheminement tout au long de ces années ; vos interrogations, vos doutes, vos engagements respectifs. Pourquoi avez-vous tenu à personnaliser le récit que vous faîtes de ces trente dernières années ?
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