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Publié le 24 Juin 2024

Le Crif en action - Le Crif Auvergne Rhône-Alpes rencontre les candidats à la députation

L'après-midi électorale organisée par le Crif Auvergne Rhône-Alpes (ARA), ce dimanche 23 juin, a été un moment clé de dialogue et d'engagement politique. Les représentants du comité directeur et les membres des associations, plus d’une centaine de personnes, ont profité de cette occasion pour échanger directement avec des candidats à la députation des partis compatibles avec les missions du Crif.
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Publié le 24 Juin 2024

Le Crif en action – Le Crif présent lors du rassemblement à Courbevoie en soutien à la jeune fille de 12 ans victime d’un viol et d’une agression à caractère antisémite

Vendredi 21 juin, le Président du Crif était présent lors du rassemblement populaire organisé à Courbevoie en soutien à la jeune fille de 12 ans victime d’un viol et d’une agression à caractère antisémite.
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Publié le 20 Juin 2024

Le Crif en action - Le Crif présent au rassemblement pour condamner le viol d'une adolescente organisé à Paris

Mercredi 19 juin 2024, le collectif Nous Vivrons organisait un rassemblement, devant l’Hôtel de Ville à Paris, pour condamner le viol et l’agression à caractère antisémite d’une adolescente de 12 ans. Le Président du Crif Yonathan Arfi était présent.
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Publié le 20 Juin 2024

Crif - Sondage : « Le regard des Français sur le conflit israélo-palestinien et ses conséquences sur la France » - vague 4

Plus de huit mois après les attaques terroristes du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, et alors que des otages sont encore retenus captifs dans la bande de Gaza, le Crif présente les résultats d'une enquête réalisée par l'Ifop sur « le regard des Français sur le conflit israélo-palestinien et ses conséquences sur la France - vague 4 ». Trois enquêtes ont déjà été réalisées par l'Ifop pour le Crif depuis le mois d'octobre 2023. Entre la vague 3 et la vague 4 de cette enquête, les Français ont été appelés aux urnes pour les élections européennes, l'Assemblée nationale a été dissoute par le Président de la République et des élections législatives sont ainsi prévues les 30 juin et 7 juillet. Malgré une forte actualité nationale, se dégage de cette enquête de riches enseignements et notamment une grande stabilité dans la perception qu'ont les Français sur le conflit israélo-palestinien et ses conséquences en France. En ce qui concerne le soutien à Israël et aux Israéliens, les chiffres sont stables. « Nous aurions pu nous attendre à un effondrement du soutien, notamment à cause de la campagne de haine et de dénigrement orchestrée par La France insoumise [lors des élections européennes]. Mais les Français font la part des choses et ont pris une distance critique très forte », a indiqué le Président du Crif dans une récente interview.
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Publié le 19 Juin 2024

Le brief du Crif - Le Crif réaffirme sa position pour les élections législatives « ni RN ni LFI »

À l’approche des élections législatives qui se tiendront les 30 juin et 7 juillet prochain, le Président du Crif a réaffirmé la position de l’institution, rejetant les extrêmes, « d’un côté un projet populiste nationaliste, de l’autre l’antisémitisme de LFI ».
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Publié le 19 Juin 2024

Études du Crif n°66 : 7 octobre 2023 - Fracture(s) - Entretien avec Danny Trom : L'inquiétude, entendue comme une appréhension à l'égard du futur, est un affect typiquement juif

Découvrez ce numéro spécial de la collection Les Études du Crif consacré au 7 octobre. Il est des événements qui, d’un jour à l’autre, nous font basculer d’une époque à l’autre. Ce qui a eu lieu le 7 octobre est de ceux-là, nous rappelant – comme en ont notamment témoigné les répliques antisémites qui se sont manifestées partout dans le monde – qu’il y avait une communauté de destin entre la condition d’Israël, la condition juive diasporique et, au-delà, celle de toutes les sociétés éprises de liberté et de démocratie, à commencer bien entendu par la France. Ce numéro donne des armes pour penser la situation dans laquelle nous sommes, ses renversements de valeurs et sa perte de repères intellectuels, politiques et idéologiques. Ce numéro est une manière de participer à la réflexion sur un événement historique toujours en cours et dont on peine à entrevoir la forme que prendra son issue. Retrouvez dans ce soixante-sixième numéro les entretiens de Joann Sfar et Danny Trom, mais également des articles de Frédérique Leichter-Flack, Bruno Karsenti et Danny Trom, Denis Charbit, ou encore Julia Christ et Julien Darmon. Découvrez cet entretien de Danny Trom. Propos recueillis par Samuel Leenhardt et Stéphane Bou.
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Publié le 19 Juin 2024

Études du Crif n°66 : 7 octobre 2023 - Fracture(s) - Article de Julien Darmon : Les Juifs français à un tournant de leur histoire ? État des lieux et perspectives

Découvrez ce numéro spécial de la collection Les Études du Crif consacré au 7 octobre. Il est des événements qui, d’un jour à l’autre, nous font basculer d’une époque à l’autre. Ce qui a eu lieu le 7 octobre est de ceux-là, nous rappelant – comme en ont notamment témoigné les répliques antisémites qui se sont manifestées partout dans le monde – qu’il y avait une communauté de destin entre la condition d’Israël, la condition juive diasporique et, au-delà, celle de toutes les sociétés éprises de liberté et de démocratie, à commencer bien entendu par la France. Ce numéro donne des armes pour penser la situation dans laquelle nous sommes, ses renversements de valeurs et sa perte de repères intellectuels, politiques et idéologiques. Ce numéro est une manière de participer à la réflexion sur un événement historique toujours en cours et dont on peine à entrevoir la forme que prendra son issue. Retrouvez dans ce soixante-sixième numéro les entretiens de Joann Sfar et Danny Trom, mais également des articles de Frédérique Leichter-Flack, Bruno Karsenti et Danny Trom, Denis Charbit, ou encore Julia Christ et Julien Darmon. Découvrez cet article de Julien Darmon.
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Publié le 19 Juin 2024

Études du Crif n°66 : 7 octobre 2023 - Fracture(s) - Article de Julia Christ : Le silence du savoir

Découvrez ce numéro spécial de la collection Les Études du Crif consacré au 7 octobre. Il est des événements qui, d’un jour à l’autre, nous font basculer d’une époque à l’autre. Ce qui a eu lieu le 7 octobre est de ceux-là, nous rappelant – comme en ont notamment témoigné les répliques antisémites qui se sont manifestées partout dans le monde – qu’il y avait une communauté de destin entre la condition d’Israël, la condition juive diasporique et, au-delà, celle de toutes les sociétés éprises de liberté et de démocratie, à commencer bien entendu par la France. Ce numéro donne des armes pour penser la situation dans laquelle nous sommes, ses renversements de valeurs et sa perte de repères intellectuels, politiques et idéologiques. Ce numéro est une manière de participer à la réflexion sur un événement historique toujours en cours et dont on peine à entrevoir la forme que prendra son issue. Retrouvez dans ce soixante-sixième numéro les entretiens de Joann Sfar et Danny Trom, mais également des articles de Frédérique Leichter-Flack, Bruno Karsenti et Danny Trom, Denis Charbit, ou encore Julia Christ et Julien Darmon. Découvrez cet article de Julia Christ.
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Publié le 19 Juin 2024

Le Crif en action - Le Crif présent au Forum national des directeurs du Congrès juif mondial, à Sofia

Alors que l'antisémitisme continue de croître, suite de l'attaque terroriste du Hamas contre Israël le 7 octobre, le Forum national des directeurs (NCDF) du Congrès juif mondial (WJC) a tenu une réunion importante cette semaine, à Sofia, en Bulgarie. Le Crif était représenté par son Directeur exécutif, Robert Ejnes.
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Publié le 19 Juin 2024

Études du Crif n°66 : 7 octobre 2023 - Fracture(s) - Article de Denis Charbit : le 7 octobre : quel impact ? Quelle empreinte ?

Découvrez ce numéro spécial de la collection Les Études du Crif consacré au 7 octobre. Il est des événements qui, d’un jour à l’autre, nous font basculer d’une époque à l’autre. Ce qui a eu lieu le 7 octobre est de ceux-là, nous rappelant – comme en ont notamment témoigné les répliques antisémites qui se sont manifestées partout dans le monde – qu’il y avait une communauté de destin entre la condition d’Israël, la condition juive diasporique et, au-delà, celle de toutes les sociétés éprises de liberté et de démocratie, à commencer bien entendu par la France. Ce numéro donne des armes pour penser la situation dans laquelle nous sommes, ses renversements de valeurs et sa perte de repères intellectuels, politiques et idéologiques. Ce numéro est une manière de participer à la réflexion sur un événement historique toujours en cours et dont on peine à entrevoir la forme que prendra son issue. Retrouvez dans ce soixante-sixième numéro les entretiens de Joann Sfar et Danny Trom, mais également des articles de Frédérique Leichter-Flack, Bruno Karsenti et Danny Trom, Denis Charbit, ou encore Julia Christ et Julien Darmon. Découvrez cet article de Denis Charbit.
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Eliane Klein, déléguée du CRIF Ouest centre : « Malheureusement, il me semble qu’une certaine logique règne dans des milieux enseignants imprégnés par une culture « tiers-mondiste », marquée par la culpabilisation de l’occident par rapport à la colonisati

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13 Juillet 2004
Question : Vous êtes la déléguée du CRIF Ouest Centre. Comme dans la ville de Tours, la communauté juive d’Orléans est numériquement réduite. S’agit-il d’une communauté qui ne cesse de décroître ?

Clément Yana, ancien président du CRIF Marseille Provence : « Ne pas dialoguer avec les musulmans, c’est s’inscrire dans l’idée que tous les musulmans sont anti-juifs, donc tous infréquentables. C’est une idée que je refuse absolument. »

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06 Juillet 2004
Question : Clément Yana votre mandat en tant que Président du CRIF Marseille Provence vient d’arriver à son terme le dimanche 4 juillet 2004. Comment qualifieriez-vous votre mandat et que gardez-vous du travail qui a été le vôtre ?
Réponse :
L’histoire de la création du CRIF, dans la tourmente nazie, nous oblige lorsque nous devons parler d’une responsabilité en son sein, de faire preuve de beaucoup de modestie. J’ai eu une immense fierté et un grand honneur à « animer » le CRIF Marseille Provence. La région qui fait partie de ma délégation est une grande région très complexe, elle nous fait intervenir à plusieurs nivaux. Il faut relayer les orientations nationales en prenant en compte le particularisme local. Il convient de représenter une institution considérée comme essentielle auprès de la classe politique, les médias, les acteurs économiques, sociaux et culturels. Enfin, il faut animer une vie communautaire riche, diverse et plurielle.

J’ai essayé pendant ces six ans, de concilier tout cela, en faisant preuve de sang-froid, de clarté et d’efficacité. Tout n’a pas été parfait, mais le niveau d’écoute du CRIF Marseille Provence est tel aujourd’hui, que nous pouvons nous réjouir du travail, qui a été un grand travail d’équipe.


Question : Votre mandat a été marqué par la permanence du dialogue avec les musulmans. Pourriez-vous nous expliquer qu’elles furent vos motivations et comment vous estimer ce dialogue ?
Réponse :
Mon mandat a été ponctué par la situation israélo-palestinienne et par l’émergence en France d’une violence antisémite. Dès le début en fait, j’ai été confronté à l’incendie d’une école juive dans un quartier populaire de Marseille. Je n’ai pas cessé d ‘affirmer que tout acte de violence contre une personne ou un bâtiment, devait être considéré comme un acte d’antisémite à partir du moment où cet acte touche un juif parce-qu’il était juif. Ceci étant, je me suis gardé de globaliser, il faut faire attention aux mots employés. J’ai notamment condamné la terminologie qui avait été utilisée par certains qui ont qualifié ces actes en comparant ces actes avec la « nuit de cristal », sous le nazisme.

Il fallait également créer les conditions de dialogue avec tous ceux qui, quelles que soient leurs opinions (en particulier vis-à-vis du conflit israélo-arabe) affirmaient publiquement leur rejet de la violence, tout en étant intransigeant sur la sécurité que doit assurer l’Institution Républicaine (Police, Magistrature !). Ces conditions m’ont permis de dialoguer avec toute la Classe Politique (j’ai refusé tout contact avec l’extrême droite) et d’avoir accès aux médias, (j’ai réussi par exemple, à faire revenir sur ses positions, le Journal Communiste « La Marseillaise », au moment du boycott des produits israéliens, qui a fait paraître une pleine page d’excuses), et de côtoyer toutes les confessions.


Question : Quels sont vos interlocuteurs privilégiés chez les musulmans et qu’avez-vous apprécié chez eux ?
Réponse :
Les musulmans de notre Région, même les plus extrêmes m’ont reçu et accepté mes positions. Je le répète, le préalable, était qu’ils affirment haut et fort, leur refus de la violence. « Les musulmans » de Marseille sont en fait une nébuleuse associative avec quelques hauts dignitaires, mais surtout énormément de travailleurs sociaux qui sont en prise directe avec un terrain social souvent défavorisé. Les rencontres ont été nombreuses et à chaque fois, nous sommes arrivés à avoir leur présence à nos côtés, notamment lors du Dîner du CRIF). Et nous avons réussi à leur faire prendre des positions politiques contre l’antisémitisme.


Question : Certains pensent qu’il ne sert à rien de dialoguer avec les musulmans. Quel est votre point de vue ?
Réponse :
Ne pas dialoguer avec les musulmans, c’est faire preuve d’irréalisme et d’inefficacité. Les musulmans à Marseille représentent 250.000 individus sur une population de 900.000 de personnes. Il est hors de question de se couper de cette frange de population, qui est par ailleurs de nationalité française. En outre, ne pas dialoguer avec les musulmans, c’est s’inscrire dans l’idée que tous les musulmans sont anti-juifs donc tous infréquentables. C’est une idée que je refuse absolument.


Question : Votre région est continuellement confrontée à la menace frontiste. Comment expliquez-vous que le FN assoit son audience dans la région ? Que faut-il selon vous faire pour le combattre ?
Réponse :
Les scores du FN m’inquiètent d’autant plus que les résultats obtenus par le FN semblent être un paradoxe dans une ville qui veut cultiver la coexistence et une certaine façon de vivre. Les scores réalisés par le FN peuvent s’expliquer de différentes manières. Il est probable que l’origine de certains habitants de Marseille (pour beaucoup, pieds noirs) puisse jouer, tout comme la forte présence d’une population d’origine maghrébine que semble craindre les électeurs du FN. Enfin, il faut noter que la situation sociale et économique est très difficile. Cela peut donc favoriser le FN. Et nous devons être inflexible et devons combattre l’extrême droite.

Ceci étant, les dernières élections régionales ont montré un léger tassement de ce vote qui est pour beaucoup protestataire.


Question : Une question plus générale si vous le voulez bien. Comment estimez-vous la situation politique en Israël ?
Réponse :
Israël et les Israéliens vivent une tragédie, qui n’est pas récente, mais qui en ces temps, atteint un paroxysme. Les véritables amis d’Israël, sont ceux qui apportent leur soutien à toutes les tentatives de ramener le calme dans cette région. Notre solidarité doit être concrète : il faut à notre niveau, expliquer la politique israélienne, rappeler les contextes historiques et renforcer nos structures d’aide et de soutien (nous avons pu faire participer une collectivité locale à un grand projet de l’Appel Unifié).

A côté du drame israélien, il y a le drame de la misère et du désespoir palestinien. Je suis favorable à la création d’un Etat Palestinien qui mettrait les Palestiniens devant leurs responsabilités, internes, internationales et qui permettrait peut-être un jour, à l’établissement de relations de coexistence entre les deux peuples.

Je ne voudrais pas terminer sans remercier tous ceux qui m’ont apporté leur soutien durant tout mon mandat, mon Comité Directeur, les Présidents d’Association, et vous ne m’en voudrez pas d’associer l’équipe du CRIF à Paris autour de Haïm Musicant, associer Henri Hajdenberg qui m’avait déjà fait confiance lors de la création de la Radio Juive de Marseille, et Roger Cukierman à qui je souhaite un deuxième mandat plus calme mais tout aussi fort que celui que j’ai vécu. Enfin, c’est dans la continuité du travail accomplis que Monsieur Alain Aragones s’est installé ce dimanche 4 juillet comme Président du CRIF Marseille Provence, après une assemblée générale de très haute qualité et je lui souhaite tous mes vœux de réussite dans cette nouvelle mission.

Propos recueillis par Marc Knobel

François Guguenheim, délégué régional du CRIF Touraine Poitou Centre : « Il faut faire en sorte que nos particularismes soient acceptés, que nos opinions soient écoutées, et que la tolérance s’installe dans les cœurs de chacun. »

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23 Juin 2004
Question : François Guguenheim, vous êtes le délégué régional du CRIF Touraine Poitou Centre. La communauté juive de Tours est une petite communauté. Est-il difficile de vivre dans une ville de province alors que l’on constitue la minorité des minorités ?

Arié Bensemhoun, Président du CRIF Midi Languedoc : « Il faut savoir occuper le terrain intelligemment… en faisant vivre le débat auprès et avec tous ceux qui y sont ouverts, dans les associations, les milieux politiques et les universitaires »

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22 Juin 2004
Question : Vous êtes le Président d’une importante délégation régionale (du CRIF), celle du Midi-Languedoc. En quoi cette délégation se distingue-t-elle selon vous ? Et comment expliquez-vous que les Juifs Toulousains notamment soient si actifs ?

Albert Roche, Président du CRIF Bordeaux-Aquitaine : « Juifs et Musulmans peuvent s’entendre, se respecter et s’estimer »

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04 Juin 2004
Question : Depuis le mois d’octobre 2003, vous êtes le tout nouveau Président du CRIF Bordeaux – Aquitaine, et vous succédez ainsi à David Berdugo. Les Juifs de Bordeaux et d’Aquitaine sont installés dans la région depuis plus de deux millénaires. Quel est leur attachement à la région ?

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