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Publié le 15 Février 2024

Le Brief du Crif - Les familles des otages israéliens à la Cour pénale internationale, à La Haye

Mercredi 14 février, des centaines de proches d’otages israéliens, toujours détenus à Gaza, se sont rendus au siège de la Cour pénale internationale à La Haye. Le Crif était à leurs côtés à La Haye, afin de leur témoigner tout son soutien. Le Crif restera mobilisé jusqu’à la libération de tous les otages.
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Publié le 15 Février 2024

Le Brief du Crif - L'actualité du Camp des Milles

La Fondation du Camp des Milles s'est associé à l’hommage national rendu par la République aux victimes françaises de l’attaque terroriste du Hamas du 7 octobre dernier ainsi qu'à la journée d’hommage national en mémoire de l’ancien Garde des Sceaux Robert Badinter. Retour sur ces événements.
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Publié le 14 Février 2024

Le Crif en action - 75 ans de relations diplomatiques France-Israël : une délégation du Crif se rend en Israël

A l’occasion de l’anniversaire des relations diplomatiques entre la France et Israël, une délégation du Crif, composée de parlementaires, de maires, de membres de la société civile et de membres des instances du Crif s’est rendue en Israël du 4 au 7 février dernier.
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Publié le 14 Février 2024

Le Brief du Crif - La France rend hommage à Robert Badinter

Mercredi 14 février, le Président de la République a rendu un hommage national à Robert Badinter, mort le 9 février. Le chef de l’Etat a salué la mémoire de l'ancien garde des Sceaux et son œuvre politique. Le Président du Crif a assisté avec émotion à ce moment de recueillement.
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Publié le 14 Février 2024

Le Brief du Crif - Communiqué du Congrès juif européen : la Cour européenne des droits de l'Homme maintient l'interdiction belge de l'abattage rituel

Le Congrès juif européen s'est dit consterné par la décision de la Cour européenne des droits de l'Homme de maintenir l'interdiction belge de la Shehita.
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Publié le 13 Février 2024

Ilan Halimi - Commémoration de la disparition d'Ilan Halimi dans l'Essonne

La municipalité de Sainte Geneviève des Bois organisait ce matin, comme chaque année, une cérémonie sur les lieux mêmes où Ilan fut retrouvé, il y a de cela 18 ans. Benjamin Allouche, délégué du Crif de l’Essonne était présent. N'oublions pas.
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Publié le 13 Février 2024

Le Crif en action – Rencontre avec Aurore Bergé, Ministre chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les Discriminations

Vendredi 9 février, une quinzaine de représentants d’institutions juives françaises se sont entretenus avec Aurore Bergé afin d’aborder les différents sujets de préoccupation des Français juifs, notamment dans le contexte des attaques du 7 octobre.
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Publié le 13 Février 2024

Le Crif en action - Hommage à Ilan Halimi à Marseille

La mairie du 6ème et 8ème arrondissements de Marseille a rendu hommage à llan Halimi, assassiné parce qu’il était juif, autour de l’arbre planté en sa mémoire dans la parc de Bagatelle, le dimanche 11 février.
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Publié le 13 Février 2024

Le Crif en action - Cérémonie de commémoration de la rafle de la rue Sainte Catherine à Lyon et hommage à Robert Badinter

Le dimanche 11 février 2024, la cérémonie de commémoration de la rafle de la rue Sainte-Catherine à Lyon a revêtu une signification particulière, coïncidant avec le décès de Robert Badinter, ancien Garde des Sceaux et fils de Simon Badinter, déporté précisément 81 ans plus tôt, le 9 février 1943.
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Publié le 13 Février 2024

Ilan Halimi - 18 ans après, le souvenir reste intact

Chaque année, le Crif se souvient d’Ilan Halimi, mort parce que juif, pour ne jamais oublier et pour ne jamais banaliser la haine antisémite.
Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

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31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

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28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

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28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

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23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Hervé Rehby* : «L’exemple des Justes donne à réfléchir sur le principe de responsabilité, sur le rapport à l’Autre»

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22 Janvier 2008
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?

Hellen Kaufmann* : «Transmettre ces trésors d’humanité que sont les Justes est un devoir absolu»

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21 Janvier 2008
Question : Vous avez été la rédactrice de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Ce travail rend hommage à chacun des 225 Justes récompensés à ce jour en Aquitaine. Quelles ont été vos sources, la méthodologie utilisée et comment ce projet a-t-il évolué ?

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