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Publié le 20 Mai 2024

Le Crif en action – Rencontre avec Hadas Jaoui-Kalderon du Kibboutz Nir Oz, mère de Sahar et Erez, retenus en otage par le Hamas

Jeudi 25 avril 2024, le Crif organisait une rencontre à la Mairie du 16ème arrondissement à Paris, avec Hadas Jaoui-Kalderon du Kibboutz Nir z, mère de Sahar et Erez, retenus 52 jours en otage dans la bande de Gaza et dont le père, Ofer Kalderon, franco-israélien, est toujours otage du Hamas.
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Publié le 16 Mai 2024

Fondation Mémoire et Vivre ensemble - Crif - Contre l'antisémitisme : ensemble, agissons

Faites de votre impôt un acte militant en soutenant la Fondation Mémoire et vivre-ensemble - Crif !
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Publié le 16 Mai 2024

Agenda - Nuit européenne des musées : Adrianna Wallis, « 11 petites soucoupes,... »

À l'occasion de la Nuit européenne des musées, le 18 mai 2024 de 18 heures à 22 heures, le Musée d'art et d'histoire du Judaïsme (MahJ) propose une performance d'Adrianna Wallis, « 11 petites soucoupes,... » dans la cour du musée.
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Publié le 15 Mai 2024

7 octobre, Manifeste contre l'effacement d'un crime, un livre, un nom

7 octobre. Manifeste contre l'effacement d'un crime est un ouvrage mené à l'initiative de Guy Bensoussan, sous la direction de Sarah Fainberg et David Reinharc. Dans ce manifeste, 80 personnalités, dont le Président du Crif, Yonathan Arfi, s'érigent contre les silences autour des massacres du 7 octobre et le refus de les voir pour ce qu'ils sont : un crime contre l'humanité à visée génocidaire.
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Publié le 15 Mai 2024

Le brief du Crif - Des mains rouges taguées sur le mur des Justes à Paris : « un cri de ralliement haineux contre les Juifs »

Dans la nuit du lundi au mardi 14 mai 2024, des mains rouges ont été taguées sur le Mur des Justes du Mémorial de la Shoah à Paris et sur des murs dans le quartier du Marais. Le Président du Crif a réagi dès mardi matin, rappelant que « quels que soient les auteurs, cette dégradation du Mémorial de la Shoah, symbole des mains ensanglantées des terroristes qui ont lynché deux soldats israéliens en octobre 2000, résonne comme un cri de ralliement haineux contre les Juifs ».
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Publié le 14 Mai 2024

Amis du Crif - Les Amis du Crif recevront Bernard-Henri Lévy le 10 juin

Lundi 10 juin 2024, les Amis du Crif auront le plaisir de recevoir Bernard-Henri Lévy pour une conférence.
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Publié le 14 Mai 2024

Le Crif en action - Rencontre avec Laurent Solly, vice-Président Europe du Sud du groupe Meta

Yonathan Arfi, Président du Crif et Robert Ejnes, Directeur exécutif du Crif, ont rencontré Laurent Solly, vice-Président Europe du Sud du groupe Meta et ses équipes. Cette rencontre a été l'occasion d'échanger sur les engagements du groupe Meta en matière de lutte contre l'antisémitisme et les haines en ligne.
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Publié le 14 Mai 2024

Yom Haatsmaout, 76ème anniversaire de l'État d'Israël : « face aux voix et aux armes de ceux qui refusent son droit à l'existence »

Depuis hier soir, lundi 13 mai, les Israéliens célèbrent Yom Haatsmaout, la fête nationale du pays, correspondant à la déclaration d'indépendance de 1948. « Aujourd'hui comme hier, tenons nous aux côtés d'Israël. »
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Publié le 13 Mai 2024

Le brief du Crif - Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation au site-mémorial du Camp des Milles

La Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation a été instituée afin de rappeler à tous le drame historique exceptionnel que fut la déportation durant la deuxième guerre mondiale. Cette cérémonie est un hommage à tous les déportés, résistants, juifs, tsiganes, homosexuels, démocrates de toutes opinions ou origines, tous victimes du nazisme, du vichysme et de ses autres complices en Europe. Le site-mémorial du Camp des Milles a célébré la journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation le 28 avril 2024.
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Publié le 13 Mai 2024

L'entretien du Crif - Dominique Reynié alerte sur les dangers des radicalités montantes

Le politologue et essayiste Dominique Reynié, Directeur de la Fondapol (Fondation pour l’innovation politique) met en alerte dans notre entretien sur les dangers inhérents au développement des radicalités : « elles n’étaient pas sorties de l’histoire mais de notre champ de vision, l’antisémitisme en est l’expression la plus tenace et la plus brutale ». Analysant avec précision les contours et nocivités des radicalités contemporaines, il souligne l’impact du « nouvel espace public numérique », « producteur de polarisation et de radicalisation d’une partie significative des individus connectés », « ce monde est porteur de risques inédits », insiste-t-il : « la modération cède devant l’extrémisme ». Répondant aux questions de Jean-Philippe Moinet, le politologue estime que nous assistons à « un changement d’époque » qui « nous fait passer d’une relative civilité régulatrice à une incivilité tendancielle et menaçante ». Il confie son effroi : « Je pense aux survivants de la Shoah, contraints d’être à nouveau les témoins d’un retour qu’ils ont tout fait pour rendre impossible », le 7 octobre s’étant « presque aussitôt retourné en une nouvelle raison de détester les Juifs ».
Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Nouvelles du terrorisme et du conflit israélo-palestinien

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22 Avril 2013

 

Ci-contre, en fichier PDF téléchargeable, le dernier bulletin du centre Meïr Amit d’information sur les renseignements et le terrorisme. Au sommaire, les dernières attaques à la roquette contre Israël et la démission de Salam Fayyad.

AQMI menace à nouveau la France

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22 Avril 2013

 

MEMRI Middle East Media Research Institute - dépêche Fr. n° 419

 

AQMI dans Q & R (Questions et réponses) : Nous ne sommes pas derrière la menace de faire sauter la Tour Eiffel, mais "nous la soutenons et appelons tous les musulmans à prendre la France, ses intérêts et ses compatriotes pour cibles..."
 

Un collaborateur de l’Oneg Shabbat parmi d’autres : Shmuel Breslaw (1920-1942)

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22 Avril 2013

 

Depuis l'enfance, j'ai entendu les témoignages bouleversants de ceux de ma famille qui, par miracle, ont échappé à la Shoah. Parmi toutes ces évocations, celle de mon grand-oncle, Shmuel Breslaw, sioniste, dirigeant du mouvement Hachomer Hatsaïr, combattant du ghetto de Varsovie, est celle à laquelle je repense à chaque fois que je foule le sol d'Israël, cette terre qu'il a tellement rêvé, cette terre vers laquelle il a fait monter tellement de juifs avant la Shoah. Son Alyah, il planifiait de la faire plus tard, pour ne pas abandonner ses frères de combat à Varsovie. Il mourra à 22 ans dans le ghetto...

 

Merci à mon petit cousin Élie Cetlin qui signe le texte ci-après de ne pas l'avoir oublié.

 

Karine Breslaw

 

Ce chapitre est tiré du travail de fin d’études de maturité fédérale d’Élie Cetlin, Les Archives clandestines du Ghetto de Varsovie, les Archives Emmanuel Ringenblum 1939-1942, Neuchâtel, Lycée Denis-de-Rougemont, 6 novembre 2009, pp. 29-36. Mentor: Hugues Scheurer, professeur d’histoire.

 

Si j’ai choisi de parler plus particulièrement de Shmuel Breslaw c’est non seulement parce qu’il est un membre de ma famille, mais aussi et surtout pour son engagement politique et social et pour les valeurs qu’il défendait. Le 28 juillet 1942, à la fin de la première semaine de « l’action de liquidation » vers Treblinka, des représentants de trois mouvements de jeunesse, ha-Shomer ha-Tzaïr, Halutz Dror et Akiva88 se réunirent dans les locaux de Dror he-Halutz à la rue Dzielna à Varsovie pour fonder l’Organisation juive de combat (Żydowska Organizacj Bojowa/ŻOB). La direction de cette nouvelle organisation était assurée par Shmuel Breslaw, Yitzhak Zuckerman, Josef Kaplan Cywia Lubetkin, Modechai Tenenbaum. Mordechai Anielewizc, absent de Varsovie, les rejoindra et c’est à lui que sera confié le commandement de l’insurrection du ghetto, en avril 1943. Leur objectif : ne pas restreindre leur action de résistance armée au ghetto de Varsovie, mais l’étendre à travers toute la Pologne grâce au réseau développé par chacune de ces organisations de jeunesse89. Avant que la guerre n’éclate, les jeunes de ces Mouvements, portés par le rêve sioniste du retour, se préparaient à immigrer en Palestine, en Eretz Israël90.

Journée nationale du Souvenir de la Déportation au Wagon du Souvenir du Camp des Milles

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22 Avril 2013

 

Maryse Joissains Masini, maire d'Aix-en-Provence, présidente de la Communauté du Pays d'Aix ; Gérard Deloche, conseiller municipal délégué aux Affaires militaires et aux Anciens Combattants, Victimes de Guerre ; le Conseil municipal, l'Union des déportés, internés, familles de disparus et fusillés de la Résistance aixoise, la fondation du Camp des Milles - Mémoire et Éducation, l'association du Wagon du Souvenir et du site-mémorial des Milles, le Comité d'entente d' associations d' Anciens Combattants et patriotiques du pays d'Aix, l' Union locale des Anciens Combattants, vous prient de bien vouloir honorer de votre présence les cérémonies organisées à l' occasion de la Journée nationale du Souvenir de la Déportation, dimanche 28 avril 2013.

Le décès de Pierre Drai

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22 Avril 2013

 

Par Nathan Rivière

 

Le grand magistrat s’est éteint le jeudi 18 avril à Paris, à l’âge de 86 ans.

 

Né le 3 juillet 1926 à Constantine, Pierre Drai a commencé sa carrière comme avocat stagiaire à Alger avant d’être nommé, en 1949, suppléant à Tunis où il restera plusieurs années jusqu’à devenir juge. Après une étape à Grenoble, il est ensuite nommé juge au tribunal de Grande Instance de Paris en 1965, où il fera toute sa carrière comme juge de siège. En 1988, il devient le premier président de la Cour de cassation, un poste prestigieux qu’il honorera jusqu’en 1996. Durant ces huit années à la tête de la plus haute instance judiciaire de France, Pierre Drai a mis à profit sa capacité de travail, mais aussi son énergie et sa courtoisie pour tenter de réformer cette institution. La rendre plus efficace et ses décisions plus cohérentes.

Décès du Prix Nobel François Jacob, à l’âge de 92 ans

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22 Avril 2013

 

Avec Le Figaro – JSSNews 

 

François Jacob est mort vendredi à l’âge de 92 ans. Prix Nobel de médecine en 1965, avec André Lwoff et Jacques Monod, pour ses travaux sur le contrôle génétique des synthèses enzymatiques et virales, il avait combattu avec les Forces françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale. Auteur de nombreux livres, il fut l’un des rares scientifiques admis à l’Académie française. «Enfant, j’ai parfois rêvé être un autre», racontait-il dans La statue intérieure, un ouvrage autobiographique d’une profondeur saisissante publié en 1987 chez Odile Jacob, la maison d’édition fondée par sa fille deux ans plus tôt. Il n’aura en réalité jamais cessé d’être lui-même. «Je porte en moi, sculptée depuis l’enfance, une sorte de statue intérieure qui donne une continuité à ma vie, qui est la part la plus intime, le noyau le plus dur de mon caractère. Cette statue, je l’ai modelée toute ma vie», écrivait-il alors.

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