La Commission Relations avec les Élus, dont le Président est Bernard Gahnassia, a reçu fin avril dernier, Laurence Patrice, Adjointe à la Maire de Paris, en charge de la mémoire et du monde combattant.
Le dimanche 18 juin 2023, le Crif et le FSJU, avec le concours de l’Ambassade d’Israël en France ont organisé une grande fête populaire au Trocadéro à Paris pour célébrer les 75 ans de l’État d’Israël. Étaient également à l’honneur les Accords d’Abraham avec la présence notamment de délégations marocaines et émiraties.
Le mardi 6 juin 2023, Yonathan Arfi a participé à la cérémonie organisée dans le cadre du dévoilement du buste d'Elie Wiesel, réalisé par l'article Denis Chetboun et offert par l'Association des Fils et Filles des Déportés juifs de France (FFDJF) présidée par Me Serge Klarsfeld, par Pap Ndiaye, Ministre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse à l’Institut universitaire d’études juives qui porte le nom du Prix Nobel de la Paix à Paris.
Dans le cadre du projet de loi justice et du projet de loi sur la sécurité numérique, le Crif a rencontré le député Raphaël Gérard, député de la Charente-Maritime, lui-même impliqué sur ces deux sujets. Cette rencontre a été organisée à la demande du député Raphaël Gérard pour questionner le Crif sur son expertise et son expérience dans les domaines de la haine en ligne, et plus particulièrement de l'antisémitisme.
Yonathan Arfi, Président du Crif, s’est entretenu avec Jean-Noël Barrot, Ministre délégué chargé de la Transition numérique et des Télécommunications le 9 juin 2023.
À l’occasion de la parution de son nouvel ouvrage, Le wokisme serait-il un totalitarisme ?, Nathalie Heinich était l’invitée de la Commission Études politiques du Crif le jeudi 1er juin 2023.
Lundi 19 juin 2023, le Crif aura le plaisir de recevoir Pierre Assouline pour une présentation et dédicace de son dernier ouvrage Le Nageur (Éd. Gallimard, 2023).
Afin de mieux comprendre ce qui se passe actuellement en Pologne autour des discussions historiques sur la Shoah et la tentative par les autorités polonaises d’imposer une politique historique patriotique nous avons demandé à l’historienne Audrey Kichelweski de nous éclairer.
À l’occasion du premier anniversaire du 7 Octobre, la Revue K. publie aux Presses universitaires de France La fin d’une illusion. Israël et l’Occident après le 7 octobre, une sélection de ses textes analysant l’événement et ses suites. Sous la direction de Bruno Karsenti.
Numéro deux du mouvement Horizons, le maire de Nice Christian Estrosi évoque pour nous la nature profonde du 7 Octobre et ses conséquences, en France comme au Proche-Orient. Particulièrement critique à l’égard de la toxicité de LFI et de Jean-Luc Mélenchon, « sortis du champ de la République » dit-il, il pense que face à un axe de droite républicaine et du centre, une gauche sociale-démocrate et républicaine peut se reconstituer. Il distingue « les quatre formes d’antisémitisme qui convergent dangereusement » en France et estime que les autorités devraient s’exprimer beaucoup plus « clairement » sur la situation au Proche-Orient, par exemple pour « qualifier le Hezbollah d’organisation terroriste comme le font le Canada et les États-Unis » et reconnaître la légitime défense d’Israël. En réponse aux questions de Jean-Philippe Moinet, le vice-président d’Horizons s’oppose ainsi nettement aux récentes déclarations d’Emmanuel Macron : « Derrière le Hezbollah, on le sait mais il faut le répéter, il y a l’Iran et la Mollah-cratie, obsédée par la destruction d’Israël et de son peuple. Ils l’ont toujours dit, leur objectif final est la disparition d’Israël. L’ignorer c’est se tromper et c’est tromper les Français. »
Mardi 15 octobre 2024, selon des propos rapportés par des participants au Conseil des ministres, le Président de la République, Emmanuel Macron aurait estimé que le premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ne devrait pas « s’affranchir des décisions de l’ONU », car ce serait une « décision de l’ONU » qui a « créé » l’État. Le président du Crif a réagi sur X (ex-Twitter) mardi soir, rappelant que « les propos attribués au Président de la République, s’ils sont confirmés, sont une faute à la fois historique et politique ».