L’écrivaine Yaël Pachet a envoyé le texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
La magie opère et comme par magie me voici transporté en un lieu d'une rare beauté, la Synagogue de la Ghriba, à Djerba, la plus vieille Synagogue d'Afrique du Nord, dit-on.
"On peut craindre que cet excès d’optimisme, légitimé par des analyses techniques sophistiquées, ne provoque une baisse de la nécessaire vigilance face au racisme, à l’antisémitisme et à la xénophobie".
Question : Catherine Coquio, vous êtes Professeur en littérature comparée à l’Université de Poitiers. Vous venez de préfacer Œuvres de Primo Levi (1). Primo Levi est aujourd’hui un auteur mondialement connu, lu et étudié dans les écoles et les lycées. On sait qu’il doit cette célébrité à son témoignage majeur d’Auschwitz, Si c’est un homme, écrit au lendemain immédiat de la seconde guerre mondiale. Et pourtant, cet auteur fameux reste mal connu. Pour quelles raisons selon vous ?
Question : Que pensez-vous de la manière dont on a parlé de la Shoah à la dans les médias, lors des commémorations qui ont été organisées en janvier 2005, à l’occasion du 60ème anniversaire de la libération des camps d’extermination ?
Question : Comment expliquez-vous qu’Israël ait une si mauvaise image en France et soit souvent perçu comme un pays dangereux, menaçant les équilibres régionaux et la paix mondiale ?
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