Question : Votre œuvre littéraire est traversée par la centralité d’Israël, son peuple, l’histoire et sa relation avec D. Que représente à vos yeux Israël ?
Question : Les Editions de La découverte publient « La guerre israélienne de l’information. Désinformation et fausses symétries dans le conflit israélo-palestinien ». Ce petit livre est co-écrit par une photographe, Joss Dray, auteur de nombreuses expositions sur la mémoire du peuple palestinien ainsi que de chroniques sur des cités de banlieue, et par Denis Sieffert, directeur de la rédaction de l’hebdomadaire Politis. Que pensez-vous de cet ouvrage ?
Question : Yigal Palmor, vous avez été Conseiller à l’information à l’ambassade d’Israël en France pendant cinq années et vous venez de quitter cet été votre poste. Vous vous retrouvez en Israël et êtes à l’heure actuelle Directeur Adjoint du Département des Organisations multilatérales européennes au Ministère des Affaires étrangères, à Jérusalem. Quel regard portez-vous sur votre pays, depuis votre retour ?
Question : Patrick Klugman, vous êtes président de l’Union des Etudiants Juifs de France. Comment se porte aujourd’hui l’Union ?
Question : Raphaël Draï, vous êtes professeur à l’Université d’Aix-Marseille. Vous venez de publier « Sous le signe de Sion. L’antisémitisme nouveau est arrivé » aux Editions Michalon (2002). Ce livre est-il un livre d’urgence pour ne pas taire ce qui doit être dit ?
1. Georges-Elia Sarfati, vous êtes professeur des Universités, linguiste et philosophe du langage, spécialiste d’analyse des discours politiques. Vous venez de faire paraître un livre consacré à l’antisionisme. En quoi l’antisionisme constitue un discours à la fois accusateur et victimaire, à travers les amalgames qu’il effectue (« sionisme=fascisme », « sionisme=racisme » etc.) ? En quoi ce discours vise-t-il à diaboliser l’adversaire ?