Tribune

Tribune
|
Publié le 24 Juin 2015

Apartheid au Moyen-Orient

L’accusation selon laquelle Israël est un État d’apartheid est un mensonge malveillant.
 

Tribune
|
Publié le 23 Juin 2015

Illégal, injuste, inefficace, illégitime : les quatre «i» du boycott d’Israël

Priver l’Etat hébreu d’échanges intellectuels et scientifiques ou de rencontres sportives est contre-productif et nuit surtout aux camps de la paix.
 

Tribune
|
Publié le 22 Juin 2015

NOS FUTURS PLUTOT QUE NO FUTURE

Comme chaque été, de nombreux juifs ont décidé de quitter la France pour s’installer en Israël.
 

Tribune
|
Publié le 22 Juin 2015

Laïcité, schisme à gauche

La place réservée à la religion dans la société française est devenue un tabou tant le sujet divise.
 

Tribune
|
Publié le 22 Juin 2015

Réflexions sur la discrimination qui vient

Le discriminé est celui à qui on refuse un droit pour ce qu’il est et non pour ce qu’il a fait.
 

Tribune
|
Publié le 19 Juin 2015

Réfugiés syriens: par le trou d'une aiguille, lorsque l'horreur vient à nous

Ce n'est pas une surproduction hollywoodienne. Ce sont les images d'un mondeexplosé à seulement quatre heures d'avion de Paris
 

Tribune
|
Publié le 19 Juin 2015

Une étoile jaune pour l'État juif ?

Bernard-Henri Lévy s'insurge contre ceux qui cherchent à "délégitimer, diaboliser un Israël qui n'en finit pas de porter son étoile jaune".
 

Tribune
|
Publié le 18 Juin 2015

BDS et tous les autres boycotteurs d'Israël: les nouveaux amis de l'écrivain A.B. Yehoshua ? Consternant!

Joel Amar analyse la tribune de l'écrivain A.B Yehoshua publiée hier dans Libération : " Du bon usage du Boycott d'Israel".
 

Tribune
|
Publié le 18 Juin 2015

La naissance de la France Libre

Rallié à de Gaulle en 1941, Jean-Louis Crémieux-Brilhac est devenu l'historien de la France Libre.
 

Tribune
|
Publié le 18 Juin 2015

Terrorisme : la France n'oublie pas

Depuis des décennies, une poignée de juges, de policiers et de victimes se sont ainsi ligués contre l'oubli et pour la Justice.
 

Articles les plus lus cette semaine

Fil d’actualité

Dov Maimon rend hommage à l’Ambassadeur Jacques Huntzinger, défenseur du dialogue entre Chrétiens, Juifs et Musulmans

|
06 Février 2008
Question : Vous étiez ces derniers jours à Alexandrie, pour participer aux ateliers interculturels. De quoi s’agit-il ?

Le jour où Théo Klein a invité le Président au dîner du CRIF

|
31 Janvier 2008
« Je suis né dans le chaudron, je m’y sens bien ; je n’en suis pas sorti, et je me suis toujours senti juif » a déclaré Théo Klein à la newsletter du CRIF.

Yves Ternon* : «Au cours du génocide rwandais aucune distinction n‘a été faite par les tueurs entre hommes et femmes et adultes ou enfants»

|
28 Janvier 2008
Question : Yves Ternon vous êtes historien des génocides et membre de la commission d’enquête sur le rôle de la France au Rwanda. Vous avez notamment publié L’Etat criminel. Les génocides du 20e siècle (Seuil, 1995) et Guerres et Génocides au 20e siècle (Odile Jacob, 2007). Vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Avant toute chose, pourriez-vous nous rappeler très brièvement ce qu’a été le génocide rwandais ?

Nathalie Zajde* : «La majeure partie des travaux sur les victimes de la Shoah et leurs descendants ne mentionnent pas leur identité. Comme si le fait d’être Juif était un artifice, et n’avait aucune influence…»

|
28 Janvier 2008
Question : Nathalie Zajde, vous êtes Maître de conférences de Psychologie Clinique et pathologique à l'Université de Paris 8 et vous participez au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé le 31 janvier 2008, à Bordeaux, par le Conseil représentatif des Institutions juives de France (CRIF Sud-Ouest Aquitaine) et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». En 1991, vous avez fait dans l'UFR de psychologie de l'Université de Paris 8 Saint-Denis, des groupes de paroles d'enfants de survivants de la Shoah. De quoi s’agissait-il ? Et pourquoi un groupe d'ethnopsychiatrie pour les enfants de survivants de la Shoah?

Tobie Nathan* : «Les enfants soldats, à mes yeux, sont des actions de guerre en eux-mêmes»

|
23 Janvier 2008
Question : Vous êtes Conseiller de Coopération et d'Action Culturelle près l'Ambassade de France en Israël depuis le 1er septembre 2004. Vous devriez participer au premier rendez-vous des Entretiens de Bordeaux organisé par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine et le Centre Yavné, sur « Les enfants de la guerre. Réparer l’irréparable ? ». Dans de très belle pages de la revue de psychanalyse, Filigrane, à l’automne 2007, (« Une clinique de l’étranger », entretien avec Cécile Marotte), vous racontez des moments de votre enfance. Vous êtes né en Égypte d'une famille juive égyptienne. Je retiens ce fort beau passage : « Et donc lorsque les vieux vieillissent... comment on les enterre, où sont les cimetières, où sont les endroits où l'on pourra retrouver la succession des morts, suivre l’évolution des choses et des gens depuis les temps. En vérité, dans le pays d'exil, tout cela est tellement impossible que cela devient une tragédie silencieuse. Ce que l’on constate, c’est une adaptation de surface durant les premières années. Mais bientôt, ça bascule et la vie devient problématique. Et puis un jour, il est nécessaire de rattraper… C’est un peu comme cela qu’a été mon exil. Je l'ai vécu en France, je l'ai vécu de manière très intense. Au début, entre neuf ans et 18 ans, j'étais un môme parfaitement adapté... J'apprenais très bien à l'école, tout allait très bien d’ailleurs… et c'est à 18 ans quand arrive l’âge où l’on devient soi-même... » Vous expliquez par la suite que vous cherchiez un chemin pour faire quelque chose de votre vie, « mais sans perdre le fond.» En 1969, vous rencontrez le psychanalyste et l’anthropologue franco-américain d'origine juive Georges Devereux Expliquez-nous…

Hervé Rehby* : «L’exemple des Justes donne à réfléchir sur le principe de responsabilité, sur le rapport à l’Autre»

|
22 Janvier 2008
Question : Hervé Rehby, vous êtes le directeur éditorial de la brochure de 64 pages (que nous reproduisons ci-après en format PDF) : « Connus ou inconnus mais Justes », publiée par le CRIF Sud-Ouest Aquitaine. Pourquoi convient-il d’enseigner, d’écrire ou d’honorer les Justes parmi les Nations d’Aquitaine ou d’ailleurs ?

Pages