L’écrivaine Yaël Pachet a envoyé le texte de son père, Pierre Pachet, essayiste, enseignant et intellectuel antitotalitaire, mais surtout écrivain de l’intime, disparu le 21 juin.
La magie opère et comme par magie me voici transporté en un lieu d'une rare beauté, la Synagogue de la Ghriba, à Djerba, la plus vieille Synagogue d'Afrique du Nord, dit-on.
"On peut craindre que cet excès d’optimisme, légitimé par des analyses techniques sophistiquées, ne provoque une baisse de la nécessaire vigilance face au racisme, à l’antisémitisme et à la xénophobie".
La profanation, le déni et les abus sur la Shoah sont tous des composantes de l'idéologie de l'Autorité palestinienne (AP) et de son discours. Palestinian Media Watch a rapporté la diffamation courante de l'AP selon laquelle Israël imiterait les nazis en causant intentionnellement aux prisonniers « une mort lente ».
Fondée au départ comme une filiale de la Banque royale du Canada, la Lebanese Canadian Bank est aujourd'hui une entreprise libanaise autonome, qui maintient un «vaste» réseau de liens financiers «avec des banques du monde entier, dont plusieurs aux États-Unis», selon le site Internet Cyberpresse.ca.
Le rendez-vous annuel organisé à l'initiative de Serge Pagès pour l'Arac (association républicaine des anciens combattants) et Andrée Zdrojower pour l'Ardiep (association des résistants, déportés, internés et emprisonnés politiques) aura lieu le lundi 16 mai 2011, sur le site de l'ancien camp de Rivel. Situé à quatre kilomètres de Chalabre, au lieu-dit «la scierie de la Prade» ("le moulin de l'évêque" est une appellation plus récente), l'endroit était jusqu'en 1939, la propriété de Guy Pierre, résidant à Toulouse. Le gouvernement français ayant alors ordonné aux préfets du sud de prévoir une arrivée massive de réfugiés, le terrain situé à 200 mètres de la gare de Rivel-Montbel (ligne Bram-Lavelanet), se transformera en un centre de séjour surveillé, placé sous la garde du lieutenant François-Paul Bonnet. Les travaux commencés en octobre 1939 seront terminés à la fin de l'année 1940 et le camp clôturé de plaques de ciment surmontées de barbelés accueillera 253 "indésirables". Nom donné à des syndicalistes et communistes, parmi lesquels Roger Garaudy, lesquels seront transférés le 28 janvier 1941 vers Saint Sulpice-la-Pointe dans le Tarn, avant un nouveau départ vers l'Afrique du Nord, en mars 1941. Le camp de Rivel accueillera ensuite des Allemands fuyant le régime nazi, et des juifs de toutes nationalités ayant cru trouver en France une terre d'asile. En août 1942, le jour de la "rafle du Vel d'hiv", tous seront transférés à Bram, les uns étant ensuite dirigés vers Rivesaltes, les autres subissant la déportation vers Auschwitz, via le camp de Drancy.
Dans le cadre de la cérémonie du 8 mai 1945, la ville d’Armentières organise un hommage aux déportés en partenariat avec l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre (ONAC). Sous l'impulsion de Roger Devroe, adjoint au maire délégué aux personnes âgées, aux seniors et aux associations patriotiques, la traditionnelle manifestation patriotique du 8 mai 1945 bénéficiera d'une ampleur nouvelle cette année. En effet, elle s'associe à l'ONAC pour mettre en place un hommage aux déportés, qui réunira les associations patriotiques, les écoles et lycées, l'harmonie du Commerce et la ville.
Combien de temps durera la réconciliation inter palestinienne? La question peut être posée à la lumière des relations délicates entretenues par les deux principales factions palestiniennes. Au départ, rien n’indiquait que le Fatah, fondé par Yasser Arafat au Koweït en 1959, devrait subir la concurrence d’une autre formation. Pilier de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), le Fatah, parti attrape-tout dont la plasticité a longtemps permis de s’adapter aux changements idéologiques, semblait incarner l’idéal national palestinien jusqu’à la réalisation de ses objectifs réduits à partir de la fin des années soixante-dix aux territoires occupés en 1967 (la Cisjordanie et Gaza).
A la veille du 4ème anniversaire de son élection, Nicolas Sarkozy est revenu longuement - dans un entretien accordé à L'Express mercredi 4 mai 2011- sur les grandes questions de l’actualité.