Par Bernard-Henri Lévy
Benny Lévy était mon ami.
Croisé à la fin des années 60, dans l’ombre de Louis Althusser.
Retrouvé trente ans plus tard, quand je publie le « Siècle de Sartre », qui se termine par la réhabilitation du dernier dialogue entre le jeune mao et l’auteur de « L’être et le néant ».
Et puis vraies retrouvailles, téléphonages incessants, travail et souci partagés, quand, avec Alain Finkielkraut, nous fondons, à Jérusalem, l’Institut d’études lévinassiennes.