Par Gérard Fellous
Dix-mille, puis trente-mille, puis soixante-dix mille victimes civiles en Syrie : Jusqu’à quand ces statistiques macabres se poursuivront-elles dans l’assourdissant silence de la communauté internationale ?
Qui oserait faire une différence entre un enfant syrien écrasé sous sa maison bombardée, et un enfant tutsi, ou cambodgien, ou juif exécuté par des génocidaires ?
Qui pourrait prétendre cyniquement qu’il ne faut pas venir au secours des victimes civiles, car, après les génocidaires pourraient succéder de pires dictateurs ?