Jeudi 30 janvier 2025, le Crif, la FMS et la Claims Conference, en partenariat avec l'AMIF et avec la participation de l'OSE, ont organisé un colloque inédit sur le thème : « La santé des survivants de la Shoah et des enfants de survivants – 80 ans après la fin de la guerre ». Lors de cet événement, qui s’est tenu à l’Académie de Médecine à Paris, interventions et tables rondes se sont succédé pour aborder des sujets aussi variés que la transmission intergénérationnelle du traumatisme de la Shoah, la situation des enfants de survivants, l’état de santé des rescapés et les spécificités de leur prise en charge, ainsi que l’aide qui leur est apportée. Dans cet article, découvrez la table ronde sur la thématique : « État de santé des survivants et spécificités de la prise en charge des survivants ».
Jeudi 7 février 2025, Mathias Ott, nouveau Délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah) s’est rendu au Site-mémorial du Camp des Milles.
Mardi 18 février 2025, le théâtre de la Concorde organise un dialogue entre Guillaume Erner et Eva Illouz, membre du Comité d’orientation du théâtre, autour de « Judéobsessions », le dernier ouvrage de Guillaume Erner.
Pour la troisième fois, l'Institut supérieur du travail (IST) et le Crif s'associent pour tenir un colloque sur le thème « Fait religieux et radicalités en entreprise ».
![](https://www.crif.org/sites/default/fichiers/images/jean_marie_burugburu.jpg)
Le Président de la Commission nationale consultative des Droits de l’Homme (CNCDH), Jean-Marie Burguburu s’exprime ici à titre personnel sur la montée de l’antisémitisme en France, déclenchée par l’attaque terroriste du Hamas le 7-Octobre, et les moyens à réunir pour l’endiguer. L'opinion exprimée dans cette interview ne reflète pas la position de la CNCDH sur les divers sujets traités. Avocat en exercice, ancien Bâtonnier du barreau de Paris et ancien Président du Conseil national des barreaux, cette haute personnalité évoque sans détour les menaces qui pèsent « sur les Juifs de France et la cohésion nationale ». Répondant aux questions de Jean-Philippe Moinet, il dénonce aussi avec force ceux qui cherchent à banaliser le terme de « génocide », évoque les « effets dévastateurs » de cette tentative de « banalisation du mal », notamment les graves entraves à l’enseignement de la Shoah qui en résultent. Il approuve les récentes déclarations de la Ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, qui vise à systématiser cet enseignement : « Personne ne peut douter de la sincérité de son intention en ce domaine. Son histoire personnelle et sa personnalité font qu’elle peut jouer un son rôle plus qu’utile pour agir en la matière ».