Le Président du Crif vous invite, avec le soutien de l'Ambassade des États-Unis en France, à une conversation entre Deborah Lipstadt, Envoyée Spéciale des États-Unis pour la surveillance et la lutte contre l'antisémitisme, et Manuel Valls, ancien Premier ministre le 12 novembre 2024.
La 14e Convention nationale du Crif aura lieu dimanche 24 novembre, à la Maison de la Chimie, à Paris. Des conférences, débats et tables rondes seront organisés autour du thème « Penser le monde d'après ». Découvrez le programme !
Patrick Klugman, avocat représentant les entreprises israéliennes dans les affaires Eurosatory et Euronaval est revenu pour le Crif sur ces deux événements pour lesquels l’État avait initialement interdit toute participation des entreprises israéliennes à ces salons, avant que le tribunal de commerce de Paris annule ces décisions en référé.
Mercredi 6 novembre 2024 au soir, La Tribune Auteuil du Parc des Princes s’est vu revêtir d’une très large banderole représentant notamment un combattant palestinien masqué, et une carte où l’État d’Israël n’existe plus.
Ancienne ministre et l’une des voix fortes du parti Renaissance à l’Assemblée nationale, Aurore Bergé nous livre son analyse sur l’état de la démocratie française. Elle estime que, face aux extrêmes, « la République doit redonner de l’espérance et ne pas se vivre sur le seul mode défensif ». À ses yeux, « l’idée de dépassement », qui ont fait les deux élections d’Emmanuel Macron à la présidence de la République, reste porteuse car « nous avons des différences majeures à affirmer qui ne correspondent pas du tout au vieux clivage gauche-droite, sur l’Europe, sur les enjeux internationaux comme le soutien à l’Ukraine ou encore les enjeux républicains comme la Laïcité ».
Constatant que « derrière l’antisionisme » menacent « une obsession et un antisémitisme qui n’ose pas dire son nom », elle nous déclare aussi, en réponse aux questions de Jean-Philippe Moinet, qu’il « faut renouveler notre législation pour mieux lutter contre les formes renouvelées de l’antisémitisme ». Quant au Hezbollah, armé par l’Iran : « On ne peut pas mettre sur le même plan l’État d’Israël et une organisation terroriste, qui ne peut en aucune manière être légitime ».