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Les sites archéologiques juifs de Tunisie

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15 Octobre 2010
La « Semaine des Arts et Traditions Populaires des Juifs de Tunisie » organisée avec le soutien du CRIF, s’est poursuivie le 14 octobre 2010 au Centre Rachi d’Art et de Culture. Au cours d’une soirée « Découverte », Bernard Allali, président de l’ATPJT et Jean-Pierre Darmon, directeur de recherches honoraire au CNRS, ont, tour à tour, présenté, une histoire des Juifs de Tunisie à travers l’archéologie : nécropole de Gammarth, lampes juives, mosaïques de la synagogue Naro d’Hammam-Lif et la récente mise à jour, dans le Cap Bon, d’une ancienne synagogue à Kélibia.

Vernissage de l’exposition «Mes Tunes»

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14 Octobre 2010
La « Semaine des Arts et Traditions Populaires des Juifs de Tunisie », organisée avec le soutien du CRIF, s’est poursuivie le 13 octobre 2010 avec le vernissage de l’exposition « Mes Tunes », une cinquantaine d’aquarelles et d’huiles réalisées par Jean-Pierre Allali. Plusieurs membres du Bureau Exécutif du CRIF étaient présents ainsi que Pierre Besnaïnou, président du FSJU. Le président du CRIF, Richard Prasquier, dans une intervention émaillée d’anecdotes, a mis l’accent sur l’éclectisme de l’artiste dont on découvre à présent un nouveau talent. Jean-Pierre Allali, pour sa part, a narré son cheminement en quête de la mémoire « tune », expliquant comment il est, au cours des ans, passé du statut de collectionneur acharné mais statique à celui de créateur, écrivain d’abord puis, à présent, peintre amateur. Le mot de la fin a été pour le recteur Pierre Grégory, de l’académie de Paris, qui a donné son sentiment sur le sens profond de la peinture.

Voyages dans la planète «tune»

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13 Octobre 2010
Organisée avec le soutien du CRIF et le concours de l’ATPJT et de la FOSF, la « Semaine des Arts et Traditions Populaires des Juifs de Tunisie », lancée le 10 octobre 2010 au Centre Rachi d’Art et de Culture s’est poursuivie le 11 et le 12. Après une première soirée, consacrée aux « écrivains juifs tunisiens de langue française » , historiens et chercheurs ont évoqué la « Saga des Juifs de Tunisie ». Autour de Jean-Pierre Allali, membre du Bureau Exécutif du CRIF et modérateur, étaient réunis Albert-Armand Maarek, Claude Sitbon, Georges Cohen et Frédéric Gasquet. Après Georges Cohen, qui a rappelé, par le biais d’anecdotes savoureuses, la vie juive en Tunisie dans les années cinquante, Albert-Armand Maarek, qui s’est révélé être un conteur hors-pair, a tracé les grandes lignes de son dernier ouvrage, « Les Juifs de Tunisie. Histoire d’une émancipation. 1857-1958 », montrant comment les Juifs de Tunisie, jusqu’ici baignés dans une culture arabe, pratiquant le judéo-arabe et vêtus à l’orientale, se sont littéralement engouffrés dans la civilisation française qui les sortait enfin du statut infamant de la dhimma. 1857, c’est l’affaire tragique de Bathou Sfez, un modeste cocher de fiacre juif, accusé de blasphème contre l’islam et qui sera exécuté malgré toutes les interventions dont celle du consul de France, Léon Roches, une affaire dont A.Maarek estime qu’elle est à l’origine de l’instauration du protectorat français sur la Tunisie. 1958, c’est l’expropriation du cimetière juif de Tunis par le maire Ali Belhouane, le broiement par les pelleteuses et les bulldozers des ossements de centaines de sépultures et la transformation d’un lieu sacré de mémoire juif en jardin public.

Vidéo clip sur Al-Aqsa Tv : «De l´argent de poche pour acheter des armes et mener le djihad» chanté par des enfants

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13 Octobre 2010
Ci-dessous des extraits d´un vidéo-clip diffusé sur la chaîne télévisée du Hamas Al-Aqsa, le 8 Septembre 2010 : "Le fusil des vacances" réalisé par Mohammed Al-Madhoun et Ibrahim Khalil Shek

À l’université française de Moscou

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11 Octobre 2010
Il y a près de vingt ans, sur une idée de l’écrivain français Marek Halter et de l’académicien russe, Andréï Sakharov, prix Nobel de la paix, et avec le soutien des présidents Mitterrand et Gorbatchev, était créé le Collège Universitaire Français de Moscou, établissement d’enseignement supérieur qui sera suivi, quelques années plus tard par son homologue de Saint-Pétersbourg.

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