Lorsqu'il leva la main droite et prononça le fameux «serment de fidélité», ce 17 avril 2009 dans un petit tribunal de Bridgeport dans le Connecticut, Faisal Shahzad, désormais citoyen des États-Unis d'Amérique, réalisait enfin le rêve américain. Il pourrait voter, faire venir des membres de sa famille du Pakistan et voir grand au pays de tous les possibles. Seules lui restaient interdites la présidence et la vice-présidence, réservées aux citoyens nés sur le sol américain.
Ce pourrait être l'histoire d'un tandem d'hommes de pouvoir, unis par une claire répartition des rôles : d'un côté le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, dont l'activité de globe-trotter est consacrée aux contacts avec les hommes d'Etat à travers le monde ; de l'autre, son premier ministre, Salam Fayyad, qui s'efforce de créer les conditions d'un futur Etat palestinien par une action concrète sur les plans économique et institutionnel.
Mardi 27 avril 2010, la diffusion sur France 2 d'un reportage des Infiltrés intitulé « A l'extrême droite du Père » a créé le scandale. L'enquête, en caméra cachée, est consacrée au fonctionnement d'un groupuscule d'extrême droite basé à Bordeaux, Dies Irae, dont les jeunes membres, qui disent se préparer à la guerre civile par un entraînement de type militaire, et par le noyautage de la société civile au travers de "pôles de résistance", se présentent comme catholiques.
Alors que vient de s’ouvrir à New York la Conférence d'examen du TPN, Ali Asghar Soltanieh, ambassadeur de la République islamique d’Iran auprès de l'Agence Internationale à l'Energie Atomique (AIEA), a répondu aux questions de lexpress.fr.
Dimanche 2 mai, les négociations indirectes entre Israéliens et Palestiniens ont pris un nouvel élan, deux mois après le différend israélo-américain. Prévues pour durer 4 mois, les discussions se dérouleront sous l’égide de l’Egypte et des Etats-Unis. Elles doivent normalement porter sur les sujets les plus sensibles, tels que les constructions en Judée-Samarie et à Jérusalem-Est ou les frontières d’un éventuel Etat palestinien. Mais le scepticisme est de rigueur. Dans ce contexte, l’Ambassadeur de France en Israël Christophe Bigot a accepté de répondre à Guysen TV, dans une interview où il s’exprime sur les principaux sujets internationaux du moment dont le dossier Shalit.