Le roi de Bahreïn, Hamad Ben Issa Al-Khalifa, a décidé de créer une commission chargée d'étudier les moyens d'appliquer un rapport critique sur la situation des droits de l'homme, a indiqué dimanche 27 novembre 2011 l'agence officielle locale Bna. Cet organisme aura à "étudier le rapport de la commission d'enquête indépendante (sur la répression de la contestation à Bahreïn) et faire des recommandations sur les moyens de les appliquer en procédant éventuellement à des amendements des lois et des régulations", selon l'agence. Il doit achever ses travaux avant fin février.
C'est l'un des pires cauchemars des services de renseignement. Et il est en train de se matérialiser. Au Nigeria, la secte islamiste Boko Haram (ce qui signifie "l'éducation occidentale est un péché" en haoussa) est en train non seulement de monter en puissance et de se radicaliser, mais surtout de devenir un centre puissant de l'arc du terrorisme qui va de la Mauritanie à la Somalie.
C’est ce qu’a déclaré le Premier ministre d'Albanie, Sali Barisha, dans un discours au Conseil israélien des relations étrangères, cette semaine, avant d’énumérer une liste de similitudes frappantes.
Cette convention a été une remarquable réussite par la qualité de l’organisation, le nombre de présents, plus de 1.000, et la qualité des intervenants. Le public a activement participé aux débats grâce à l’affichage sur écrans géants des SMS émanant de l’auditoire, et aux interventions orales.
Bertrand Delanoë effectue depuis samedi 26 novembre 2011 un déplacement de quatre jours en Israël puis dans les territoires palestiniens. Accompagné de Pierre Schapira, adjoint chargé des relations internationales, des affaires européennes et de la francophonie, il doit rencontrer des personnalités politiques israéliennes et palestiniennes. Ce déplacement lui fournit aussi l’occasion de constater l’avancement des projets de coopération que Paris mène avec plusieurs villes de la région.
Il est interdit de crier des slogans politiques. Il est interdit de monter une tribune. Il est interdit à tout parti politique d'entrer sur la place" : les révolutionnaires égyptiens ont érigé en lettres rouges les règles de "Tahrir" sur des bâches en plastiques amarrées au terre-plein central. Un par un, les hommes politiques de tous bords qui se sont aventurés, depuis le 19 novembre 2011, sur le "coeur battant de la révolution égyptienne" s'en sont fait expulser sans concession.