Accusée de sorcellerie, une femme saoudienne a été décapitée au sabre le 12 décembre 2011. Il y aurait eu 73 exécutions de ce type dans le royaume depuis janvier 2011.
L’Ambassadeur de France en Israël, Christophe Bigot, a remis le Prix des droits de l’Homme de la République Française 2011 aux associations israéliennes H’avruta (qui vise à soutenir les homosexuels juifs orthodoxes) et Bat Kol (qui aide les homosexuelles orthodoxes), jeudi 15 décembre 2011 lors d’une réception à la Résidence de France.
Devant l'essor de la contestation via Facebook et assimilés, les autorités russes sont partagées entre une ouverture affichée et les vieux réflexes postsoviétiques de contrôle et de répression.
Un manuel saoudien de classe de Terminale intitulé "Etudes du monde musulman" comporte un chapitre sur la Palestine et la cause palestinienne qui s´étend longuement sur la question juive. Ce chapitre présente le différend sur la Palestine comme un combat religieux opposant Juifs et musulmans depuis l´époque du prophète Mahomet. Il affirme qu´il n´existe aucun espoir de paix avec les Juifs, car ceux-ci ne croiraient pas à la paix et ne feraient que répandre la corruption et l´instabilité dans le monde ; les Juifs seraient menteurs, complices du mal et tricheurs par nature. Il précise que ces caractéristiques juives sont décrites dans le Coran, citant des versets à l´appui. Finalement, le chapitre affirme que la seule façon de libérer la Palestine est le djihad. Extraits :
Elle animait un blog en Syrie sous son vrai nom, au vu et au su du régime de Bachar al-Assad. Depuis le 4 décembre 2011, Razan Ghazzawi croupit en prison, "punie" pour son militantisme sans concession. "C'est une fille courageuse et très passionnée", affirme Abir, une militante libanaise des droits de l'homme et amie de Razan qui préfère utiliser un pseudonyme. Cette bloggeuse américano-syrienne de 31 ans est accusée d'avoir "affaibli le sentiment national", "créé une organisation qui vise à changer le statut social et économique de l'État" et "ravivé les dissensions confessionnelles", selon le Centre syrien pour l'information et la liberté d'expression.