Le parvis de la basilique de Saint-Denis avait, en ce lundi ensoleillé du 23 mai 2011, jour de la commémoration des victimes de l’esclavage colonial, un petit air de Fort-de-France et de Pointe-à-Pitre. Partout, des stands d’associations, des buvettes et même un atelier de généalogie où on faisait la queue pour découvrir des traces d’ancêtres depuis longtemps disparus.