Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Pour Eliahou David Kay

22 Novembre 2021 | 130 vue(s)
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Actualité

Le 33ème Dîner du Crif a eu lieu mercredi 7 mars 2018.

Au théâtre de l'Atelier, Le livre de ma mère réveille les souvenirs et sublime la relation la plus sincère qui est donnée à l'homme de connaître.

Vendredi 23 février, j'ai rencontré Tomasz Młynarski, Ambassadeur de Pologne en France.

La première djihadiste française capturée à Mossoul par les forces irakiennes en juillet 2017, Mélina Boughedir, a été condamnée, lundi 19 février, à sept mois de prison pour l’entrée illégale en Irak. La cour pénale de Bagdad a ordonné la remise en liberté et l’expulsion en France de la jeune femme de 27 ans, sa peine étant couverte par sa détention préventive, rapporte Le Monde du 19 février. Qui sont ces femmes désintégrées, déstructurées et aveuglées par la propagande développée par les djihadistes et qui ont été des proies faciles. C'est ainsi qu'elles se sont déshumanisées et ont participé à cette orgie barbare et moyenâgeuse qu’est le djihadisme.

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"On s'est dit au-revoir. C'était un au-revoir mais qu'y avait-il derrière cet au-revoir ?"

Dans leur numéro de janvier, le magazine Youpi, destiné aux enfants de 5 à 8 ans, a clairement laissé entendre à ses jeunes lecteurs qu' "Israel n'était pas un vrai pays".

"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

Sarah Halimi, une retraitée a été battue à mort à Paris, le 4 avril 2017 et son calvaire a duré plus d'une heure. Et, il s'agit bien d'un meurtre antisémite.

Pages

Alors que nous nous préparons à fêter Hanouka, la fête des lumières, les criminels du Hamas ont assassiné en plein Jérusalem un enfant d’Israël. Ces assassins, adorateurs des ténèbres, n’ont de cesse de distiller leur Haine et leur détestation de la vie surtout lorsque cette vie est juive.

Il s’appelait Eliahou David Kay, il avait 26 ans et avait décidé il y a quelques années de faire son Alya seul, quittant sa famille vivant en Afrique du Sud.

Il fait partie de ces jeunes qui décident un jour de quitter le confort familial pour réaliser le rêve sioniste et construire leur vie sur la terre de leurs ancêtres. Il aimait la vie, il aimait cette terre, il n’aspirait qu’à vivre et bâtir une famille. Ce rêve est insupportable pour les terroristes palestiniens. Eux qui n’aspirent qu’à la haine, eux qui sont imprégnés d’un antisémitisme viscéral, eux qui aspirent au martyr, eux qui contrairement à Eliahou sont des adorateurs de la mort. Cette attente nous rappelle sans cesse le combat permanent et vital d’Israël.

Il nous montre la faiblesse et le manque de courage de tant de nations qui ont peur de nommer les choses et refusent encore à ce jour de déclarer le Hamas comme un mouvement terroriste et se taisent ou au mieux condamnent du bout des lèvres ses actions terroristes.

Eliahou rallonge la trop longue liste des enfants d’Israël victimes de ces criminels, mais que tous l’entendent : malgré les larmes, les blessures qui ne cicatrisent jamais vraiment, malgré l’hypocrisie des nations, Israël, son peuple et le peuple juif partout, ne baisseront jamais les bras. Que les nations le sachent et que les palestiniens de Jérusalem qui ont exprimé hier leur soutien aux terroristes sachent qu’ils devront rendre des comptes.

En cette veille de fête, une belle et merveilleuse lumière s’est éteinte mais, au nom d’Eliahou comme au nom de toutes les victimes de l’antisémitisme, gardons dans nos cœurs la lueur de leurs âmes.

A chaque allumage de Hanouka, prions pour eux et pour leurs familles.

 

Gil Taïeb