Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - En mémoire de Samuel Paty, levons nous !

19 Octobre 2021 | 57 vue(s)
Catégorie(s) :
Actualité

Dans une interview donné à Patrick Perotto de L'Est Républicain, je suis revenu sur l’un des défis des années à venir : combattre les idées de haine qui se répandent sur internet

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

Suite à mon élection à la Présidence du Crif, j'ai répondu aux questions de Paul Amar, sur tous les sujets de préoccupations des Juifs de France.

Prix Nobel de littérature en 2002, l'écrivain hongrois Imre Kertèsz est mort à Budapest le 31 mars 2016. Son dernier livre, "L'ultime auberge" a reçu, le 22 mai 2016, le Prix Spécial du Jury 2016 du Salon du Livre de la Licra-Paris

Voici le discours que j'ai prononcé après le vote de l'assemblée générale du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

Lors du 9ème Salon du Livre de la Licra, deux écrivains ont reçu un prix

Là-bas, la crainte d'une menace russe est la principale raison qui exacerbe les passions identitaires.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

Des 27 avril au 10 juin 2016, se tiendront les journées nationales des Mémoires de la traite de l’esclavage et de l’abolition.  Souvenons-nous.

Nouvelle erreur de casting - Au lendemain de l'émission Dialogues Citoyens, retour sur Marwen Belkaid, un invité pas comme les autres.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Réaction à la célébration du 20ème anniversaire de la mort de François Mitterand

Pages

Opinion

Par Chloé Blum

Pages

Il y a un an était poignardé et décapité, par un islamiste, le professeur Samuel Paty à quelques centaines de mètres de son collège de Conflans Sainte Honorine.

Il y a un an la quasi-totalité des Français était pétrifiée à l’annonce de cette nouvelle attaque terroriste.

Non que cela fut le premier des actes terroristes islamiques mais un symbole de plus était frappé par cette idéologie criminelle.

Après avoir tué des juifs parce qu’ils étaient juifs, des dessinateurs par Haine de la liberté d’expression, des policiers et des militaires pour l’uniforme qu’ils portaient ou des citoyens à des terrasses ou dans une salle de spectacle par Haine de notre mode de vie et de notre liberté, le criminel islamique s’est attaqué à l’Ecole de la République et à son devoir d’enseigner et de prodiguer les richesses du savoir et les valeurs de liberté d’égalité et de fraternité.

Lors des différents hommages rendus à Samuel Paty, il a été rappelé le rôle essentiel de l’école dans la diffusion des valeurs qui sont le socle de notre République.

Dans l’immense majorité des cas, cette journée de souvenirs et d’hommages s’est bien déroulée même s’il est à regretter quelques petits incidents lors de la minute de silence. Partout le message a été diffusé même si l’on peut regretter le caractère facultatif de la célébration alors qu’il aurait été essentiel de faire de cette journée une journée officielle et obligatoire d’éveil à la citoyenneté.

Ce manque d’autorité est un signe de faiblesse et se doit vite d’être comblé car nos jeunes ont besoin de ces repères et de la détermination sans faille ni faiblesse à défendre nos principes.

Il est aussi à regretter la petite phrase maladroite d’Alexis Corbière, Député de la France insoumise, qui a parlé de la « nécessité d’outils pédagogiques adaptés à l’âge des enfants, s’interrogeant sur la pertinence d’utiliser des dessins de Charlie Hebdo devant des adolescents ! » Cette petite phrase incendiaire pouvant montrer les hésitations et les faiblesses face aux crimes odieux de Samuel Paty. Alexis Corbière a tenu à préciser « que le cours du professeur Samuel Paty était irréprochable ». Une précision certes importante mais le mal était fait. Les propos tenus montrent ce recul voire de la crainte pour certains de rester droits et fermes face à l’idéologie islamique qui gangrène une partie de la jeunesse française.

En cette période pré électorale qui s’annonce difficile et qui laisse libre cours à nombres de déclarations extrémistes, il est essentiel que la « chasse aux voix » ne se transforme pas en danse du ventre afin de séduire les islamo gauchistes ou les fascistes.

Comme l’a déclaré la famille de Samuel Paty : « chaque hommage, c’est se lever contre l’islamisme »

En mémoire de Samuel Paty, levons nous !

 

Gil Taïeb

- Les opinions exprimées dans les billets de blog n'engagent que leurs auteurs -