Pour Francis Kalifat, Président du Crif, "au-delà des condamnations légitimes dont celle du Ministre de l'Intérieur, le Crif attend que les auteurs de ces profanations soient appréhendés et lourdement sanctionnés."
Le Crif salue la décision historique du Président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël, et le transfert prochain de l'Ambassade des États-Unis.
Le Crif note avec soulagement que l'évidence du caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi est enfin reconnue. Cette décision est une satisfaction pour le Crif et la Communauté juive française. Lire la suite...
Le Crif prend note de la publication par Le Figaro d'informations indiquant que l'expert psychiatrique désigné pour examiner l'auteur de l'assassinat de Mme Sarah Halimi aurait remis son rapport au juge d'instruction. Lire la suite...
Le Crif condamne avec force l'agression très violente et antisémite dont à été victime une famille juive de Livry-Gargan séquestrée, ligotée, tabassée et volée à son domicile.
Following the Charlottesville anti-Semitic and Nazi demonstration, Francis Kalifat, President of CRIF (French Jewish umbrella organization), wrote to the Presidents and CEOs of major US Jewish organisations to express support and solidarity
Le Crif condamne sévèrement l'attaque terroriste perpétrée vendredi soir à Halamish, dans laquelle un terroriste palestinien s'est infiltré dans un foyer pendant le dîner du Chabbat et a sauvagement assassiné trois Israéliens.
Following the remarks of Marine Le Pen denying France's responsibility in the Vel d'Hiv roundup, CRIF denounces revisionist remarks which unveil the true face of the National Front.
Né en 1924 à Paris, Simon Drucker vit avec ses parents originaires de Pologne et son petit frère Isidore. Le père de Simon, sans papier, fabrique des casquettes dans un atelier de la rue des Blancs-Manteaux. « Il nous arrivait souvent d’avoir faim mais nos parents nous donnaient tellement d’amour, de tendresse, que dans les pires moments – et même plus tard devant la mort – l’espoir ne nous abandonnera jamais », déclare Simon.
Au moment de sa libération, Jo fait la connaissance d’un soldat juif américain, Harry Jelinowicz. « Il parlait couramment yiddish comme moi et m’a demandé quels étaient mes projets. Si je comptais repartir en Pologne », se souvient Jo. Le soldat lui propose de venir en Amérique. Pour cela, il faut d’abord passer par la France. Arrivé à Paris, il est amené au Carreau du Temple. Jo a 16 ans. Il ne parle que yiddish. Il est orphelin. Il porte encore son pyjama de prisonnier, qu’il a gardé jusqu’à présent. « Il y a eu un attroupement autour de moi. Une femme s’est approchée et m’a demandé si j’avais déjà mangé. Elle m’a invité chez elle. Je me suis mis à table avec toute la famille. Il y avait très longtemps que je n’avais pas assisté à un vrai repas familial. Je ne savais plus ce que c’était. Je mangeais très vite en plus. Elle m’a ensuite demandé quels étaient mes projets. Elle m’a invité à rester dans sa famille jusqu’à mon départ pour les Etats-Unis. » Il s’agit de la famille Kaluszynski. Nathan et Guitele l’adopteront.
La première chose qui m’a frappée lorsque je l’ai vu, c’est son regard bleu doux et profond. Pensez que ces mêmes yeux ont vu l’inimaginable : la mort en face. Jo Wajsblat, est comme l’indique le titre de son livre, « le témoin imprévu ». Il a 15 ans lorsqu’il est sélectionné pour la chambre à gaz à Auschwitz-Birkenau. Mais suite à un ordre de Mengele, les SS font sortir une cinquantaine de personnes parmi lesquelles Jo Wajsblat…
La 13e conférence européenne du Conseil international des femmes juives s’est déroulée à Bruxelles du 16 au 19 mars 2008 en présence de sa présidente mondiale, Eliah Aharonov. Danielle Obadia, la déléguée du CIFJ à l’Unesco et membre du Comité directeur du CRIF, qui faisait partie de la délégation française, répond aux questions de la newsletter du CRIF.
Professeur à Sciences Politiques et auteur de nombreuses études liées aux violences de masse, Jacques Semelin et son équipe ont présenté jeudi 3 avril le fruit d’un travail de plusieurs années : la création sur Internet de la première encyclopédie des violences de masse. Conçue et réalisée sous l’égide de Sciences Po, cette entreprise vise à rassembler les travaux de chercheurs de toutes disciplines.
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