Vous avez présenté, lors de la récente conférence organisée par Shimon Peres, à l’occasion des soixante ans d’Israël un nouveau projet de partenariat entre Israël et la Diaspora. En quoi consiste ce projet ? Comment a-t-il été accueilli ?
Question : Vient de sortir en librairie votre « Atlas géopolitique d’Israël. Aspects d’une démocratie en guerre », avec cartes et infographies de Alexandre Nicolas (collection Atlas Monde, 80 pages, 15 euros, Edition Autrement). S’agit-il d’ailleurs d’un livre ou d’un atlas géopolitique ? Et qu’est ce qu’un atlas géopolitique ?
1° Vous êtes la représentante en France de l’American Jewish Committee (l’AJC) qui vient de tenir à Washington son congrès annuel dont l’hôte d’honneur a été cette fois le Premier Ministre François Fillon. Pouvez-vous nous présenter l’AJ, l’une des plus anciennes et des plus connues organisations juives américaines ?
L’homme n’aime pas les honneurs. Il refuse même d’aller chercher la légion d’honneur qui lui est décernée. Marcel Blumenzak est un homme modeste. Il considère que ce qu’il a fait était de son devoir. Téméraire, il s’engage à 17 ans comme volontaire étranger pour aller combattre aux côtés des siens en Israël. « Je ne voulais plus qu’à cause d’un nom, d’une appartenance à une religion quelqu’un soit massacré. »
« J’étais un enfant perdu qui cherchait à se construire. Après la guerre, ce n’était pas évident de retrouver ses marques », explique Maurice Schwartz. Cet ancien combattant de la guerre d’indépendance est parti en Israël pour se reconstruire mais aussi et surtout « parce qu’on avait besoin » de lui.
Nous diffusons des cookies afin d'analyser le trafic sur ce site. Les informations concernant l'utilisation que vous faites de notre site nous sont transmises dans cette optique.En savoir plusOK