Le Crif salue la décision historique du Président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël, et le transfert prochain de l'Ambassade des États-Unis.
Le Crif note avec soulagement que l'évidence du caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi est enfin reconnue. Cette décision est une satisfaction pour le Crif et la Communauté juive française. Lire la suite...
Le Crif prend note de la publication par Le Figaro d'informations indiquant que l'expert psychiatrique désigné pour examiner l'auteur de l'assassinat de Mme Sarah Halimi aurait remis son rapport au juge d'instruction. Lire la suite...
Le Crif condamne avec force l'agression très violente et antisémite dont à été victime une famille juive de Livry-Gargan séquestrée, ligotée, tabassée et volée à son domicile.
Following the Charlottesville anti-Semitic and Nazi demonstration, Francis Kalifat, President of CRIF (French Jewish umbrella organization), wrote to the Presidents and CEOs of major US Jewish organisations to express support and solidarity
Le Crif condamne sévèrement l'attaque terroriste perpétrée vendredi soir à Halamish, dans laquelle un terroriste palestinien s'est infiltré dans un foyer pendant le dîner du Chabbat et a sauvagement assassiné trois Israéliens.
Following the remarks of Marine Le Pen denying France's responsibility in the Vel d'Hiv roundup, CRIF denounces revisionist remarks which unveil the true face of the National Front.
Suite aux propos de Marine Le Pen niant la responsabilité de la France dans la rafle du Vel d'Hiv, le CRIF dénonce des propos révisionnistes qui dévoilent le véritable visage du Front National.
Question : Du 7 au 11 novembre, l’Union des Etudiants Juifs de France a réuni à Strasbourg sa convention nationale, intitulée « Les Enfants de la République », sur le thème de la lutte contre le communautarisme. Plus de 300 étudiants, venus de toute la France ont débattu en présence de représentants de mouvements de jeunesse politiques (UMP Jeunes, UDF jeunes, MJS, SOS Racisme,…) autour des thèmes du communautarisme, de la laïcité et de la lutte contre l’extrémisme. Pourquoi avez-vous choisi de débattre de ces thèmes ?
Question : Vous publiez un ouvrage qui est particulièrement illustré et qui est consacré aux caricatures pour le moins agressives ou antisémites, qui ont été publiées par de grands quotidiens arabes, européens, américains et sur l’Internet, depuis le début de la seconde Intifada. Pourquoi ce livre ? Quel en fut le facteur déclenchant ?
Question : Monseigneur, il semble qu’il y ait une tradition séculaire qui veuille que dans la ville de Lyon, vos prédécesseurs aient joué un rôle particulier et de toute importance, dans les relations judéo-chrétiennes. Nous pourrions évoquer l’affaire Barbie, l’affaire du carmel d’Auschwitz ou, par exemple, la reconnaissance de l’état d’Israël par le Vatican. Comment expliquez-vous qu’il en ait été ainsi et que les autorités ecclésiastiques lyonnaises aient pu jouer un tel rôle ? Entendez-vous également œuvrer à votre manière et renforcer l’amitié judéo-chrétienne ?
Question : Vous avez dirigé un ouvrage collectif dont la presse s’est largement fait écho, Les territoires perdus de la République. Antisémitisme. Racisme et sexisme en milieu scolaire. Les enseignants qui ont accepté de collaborer témoignent de leurs difficultés respectives et de l’incroyable violence qui peut régner dans certains établissements scolaires. Cette violence est en partie dirigée contre des élèves ou des professeurs de confession juive. Vous semble-t-il que ce livre a permis de soulever le problème, de dénoncer l’incroyable permissivité qui règne ici ou là, et de stigmatiser les agressions antisémites qui sont perpétrées dans les collèges et lycées ?
"Sous l’Occupation, les trois quarts de la population juive métropolitaine ont échappé à la déportation et à la mort : ce ne fut pas uniquement grâce aux Justes, mais ils y ont joué un rôle majeur, notamment dans le sauvetage des enfants".
Question : Vous venez de publier « Une histoire personnelle de l’antisémitisme » (Editions Robert Laffont, 2003). Vous prévenez le lecteur que ce livre a moins pour objet d’expliquer la genèse de l’antisémitisme contemporain que d’en proposer un « état des lieux » correspondant à ce que vous avez pu observer, de la fin des années 70 à aujourd’hui. Le lecteur suit donc votre cheminement tout au long de ces années ; vos interrogations, vos doutes, vos engagements respectifs. Pourquoi avez-vous tenu à personnaliser le récit que vous faîtes de ces trente dernières années ?