Jean Pierre Allali

Jean-Pierre Allali

Lectures de Jean Pierre Allali - Max et le pigeon, de Marc Wluczka

02 Janvier 2019 | 117 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Mardi 10 octobre 2017, j'ai été reçu par le Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères pour un long tour d'horizon.

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#BlogDuCrif - Devoir de mémoire
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20 Septembre 2017
Catégorie : France

Il y a 76 ans, le 15 décembre 1941, 69 hommes ont été fusillés au Fort du Mont Valérien à Suresnes, dans les Hauts de Seine par les autorités d’occupations allemandes. Ces hommes, français et étrangers, furent arrêtés par les forces de polices françaises de la Préfecture de police du département de la Seine (à l’époque).

Je vais vous raconter l’histoire de Moritz Singer, mon oncle, le frère de ma mère, un de ces fusillés.

En 2017, Roger Pinto, sa femme et son fils ont été séquestrés, violentés et détroussés à leur domicile de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis), "une agression antisémite" condamnée par le Crif et le ministre de l'Intérieur. Une première ?

"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

"The strength of a Nation always lies in the the way it looks at its History and and its ability to teach it to future generations".

 

"La force d’une Nation réside toujours dans le regard qu’elle sait porter sur son histoire et sa capacité à l’enseigner aux générations suivantes."

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

Sarah Halimi, une retraitée a été battue à mort à Paris, le 4 avril 2017 et son calvaire a duré plus d'une heure. Et, il s'agit bien d'un meurtre antisémite.

Thierry Noël-Guitelman est un journaliste, membre de l'association Hébraïca à Toulouse. Il a engagé, en 2004, des recherches familiales sur l'étoile jaune, sa tante Ida Seurat-Guitelman, ayant obtenu une exemption.

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Opinion

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Par Nicolas Bedos

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

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Max et le pigeon, de Marc Wluczka*

Par-delà l’histoire, somme toute anecdotique, du sauvetage d’un pigeon, c’est la vie de Max, qui, aux heures sombres de l’Occupation et de la Shoah, fut, comme bien d’autres jeunes Juifs, un enfant caché, qui nous est contée. Avec tendresse.

Le récit des aventures de Max est l’occasion de nous décrire Belleville, un quartier autrefois typiquement parisien chanté par Maurice Chevalier et, désormais, essentiellement habité par des Juifs, des Arabes, des Africains, des Pakistanais et des Asiatiques.

Pendant la Guerre, Max a été récupéré par un pasteur protestant et placé dans une famille catholique, loin de Paris, à Saint-Julien-d’Ance à quarante kilomètres du Puy-en-Velay. Il a treize ans, vient de faire sa « communion » et se retrouve, séparé de sa famille, chez des paysans, les Maurin. Il gardera des vaches et des chèvres. À la Libération, hélas, malgré des attentes interminables à l’Hôtel Lutétia, il réalisera que ses parents auront péri dans les camps de la mort.

Après une carrière d’ouvrier imprimeur, Max, qui n’est pas en très bonne santé, qui a perdu son épouse, Marie-Thérèse, morte d’un cancer et qui ne revoit ses enfants et ses petits-enfants que par intermittence, s’est lié d’amitié avec Kader.

Lorsqu’un jour, il récupère un pigeon mal en point que des voyous du quartier sont en train de maltraiter, c’est avec Kader qu’il va tout faire pour tenter de sauver le malheureux volatile, notamment en allant en bibliothèque pour consulter des ouvrages sur la vie des pigeons.

Après quelques jours d’attentions et de soins, le pigeon de Max sera sauvé et prendra son essor pour voler vers la liberté retrouvée.

Original et sympathique.

Jean-Pierre Allali

 (*) Éditions Maïa. Juillet 2018. Préface de Serge Klarsfeld. Avant-propos de Jean-François Guthmann. 126 pages. 17 €.

 

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