Richard Prasquier

Ancien Président du CRIF

De la situation aux États unis par Richard Prasquier

24 Novembre 2016 | 128 vue(s)
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Actualité

Comment les réseaux sociaux sont passés de l'effroi à la solidarité sans précédent avec les telavivim

Les femmes, Daech et le Djihad
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19 Novembre 2015
Catégorie : Actualité

« Une femme retranchée dans l’appartement, qui a activé son gilet explosif au début de l’assaut, est morte »

Vendredi soir en l'espace de moins d'une heure, la France a connu le plus grave attentat jamais perpétré sur son territoire. En l’espace d’une trentaine de minutes, des terroristes ont attaqué la capitale à 7 endroits avec une minutie et une détermination macabres. 129 morts, 350 blessés dont 100 dans un état très grave. Les chiffres donnent le tournis. Moins de 48 heures après cette nuit d’horreur, n’en déplaise à certains, il est juste le temps de pleurer.

Des visages sur nos morts
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14 Novembre 2015
Catégorie : Actualité

Les réseaux sociaux se sont mobilisés pour retrouver les personnes portées disparues, ceux dont nous n’avions pas de nouvelles. Les Amis, les familles, les anonymes partagent descriptions, photos et espoir.

Portrait de Virginie Guedj-Bellaïche
#JeNaiPasPeur
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14 Octobre 2015
Catégorie : Actualité

8H30. Au moment où les employés de la mairie qui font la circulation rangent leurs gilets jaunes, dans les classes, les écoliers ouvrent livres et cahiers. Alors que les hommes sortent de l’office du matin, croisant ceux qui distribuent l’édition du jour du quotidien Israël Hayom, les lycéens patientent à l’arrêt de bus, smartphone en main. Si le rideau de fer des boutiques est encore fermé pour une demi-heure, le cafetier lui prépare déjà son 17e café afour. Voilà à quoi ressemble la vie matinale à Raanana, petite ville près de Tel-Aviv. Et puis hier, mardi, tout a basculé.

Je suis Israélien, je suis Charlie
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13 Octobre 2015
Catégorie : Actualité

Il est temps d'affirmer haut et fort que les islamistes veulent tuer des juifs !

Réaction suite à la nomination de l'Arabie Saoudite au Conseil des Droits de L'Homme.

L'Europe doit se mobilier pour le sort des réfugiés

Portrait de Olivier Rafowicz
Tel Aviv sur Seine
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12 Août 2015
Catégorie : Actualité

La ville blanche sera à l'honneur demain sur les berges de Paris Plage

Un bébé palestinien a été brûlé vif et ses parents ont été grièvement blessés vendredi lorsque des extremistes israéliens ont mis le feu à leur maison en Cisjordanie.
Un acte abominable , Israel doit prendre toutes les mesures nécessaires afin d'éliminer le terrorisme juif.
 

Iran's Ayatollahs were behind the bloody attack that hit the Jewish community center in Buenos Aires in 1994 that killed 84 and injured 230.

Portrait de Invité
Droit de réponse
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19 Juin 2015
Catégorie : Actualité

Hier Joel Amar nous a fait part de son analyse de la tribune d'A.B Yehoshua publiée dans Libération le 17 Juin dernier " Du bon usage du Boycott d'Israel".

Aujourd'hui, nous publions le " Droit de réponse " d' Alain Rozenkier, Président de " La Paix Maintenant"

Joel Amar analyse la tribune de l'écrivain A.B Yehoshua publiée hier dans Libération : " Du bon usage du Boycott d'Israel" 
Paru sur mediapicking.com

Viralité des messages, impunité des auteurs, Marc Knobel a choisi de faire le constat de la haine sur internet et de la responsabilité des réseaux sociaux.

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Retour sur les lieux du Crime
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29 Avril 2015
Catégorie : Actualité

« Ne pas témoigner serait trahir», Pierre Laurent, journaliste, a participé à la commémoration du soulèvement du ghetto de Varsovie le 19 avril dernier. Article publié dans l'Est Républicain.

 

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Donald Trump est un excentrique narcissique qui au cours de sa campagne électorale a fait du mensonge une arme redoutable.

Donald Trump estaussi un pragmatique,qui ne tiendra pas  toutes ses promesses électorales (il ne sera pas le seul dans ce cas) mais qui les abandonnera pas toutes non plus.

L’orientation nationaliste, protectionniste et anti-interventionniste qu’il a promis de donner à la politique américaine peut être lourde de conséquences pour le développement économique du monde entier et la sécurité collective d’une Europe qui subit déjà une dramatique perte de crédibilité et dans laquelle rôde la tentation autoritaire. Les Etats Unis ne nous sont pas un pays totalement étranger: nous leur devons d’avoir échappé au douteux paradis marxiste des démocraties populaires, ni démocratiques, ni populaires.
 
Comme  d’autres, j’ai été écoeuré par la campagne de Trump, beauf aux déblatérations outrancières, au vocabulaire minimal et au comportement de matamore de cour de récréation. J’ai pensé qu’il ne pouvait être élu après avoir insulté femmes, latinos et noirs, et  proposé un repli autarcique dans un pays au dynamisme économique et scientifique  et aux taux de chômage plus qu’enviables.
Comme  d’autres, j'ai négligé les fractures culturelles et sociales de la société américaine: contraste entre  grandes villes et  périphéries, blessures de désindustrialisation , sensation de déclassement, écarts énormes de revenus, puissance religieuse évangélique, la grande spécificité américaine,surimposées aux constantes de la répartition électorale, avec au centre cet immense territoire que l’étranger et le sondeur ont ignoré, car il est loin de la côte Nord Est et de la Californie, bastions démocrates d’un entre-soi élitaire que recouvre un discours culturellement dominant mais théorique d’ouverture à l’autre. Air connu.
Cette élection  ne fut pas un raz-de-marée mais l’homme à l’improbable tignasse orange a compris mieux que d’autres les attentes des électeurs « moyens ». Il a fait rêver au retour de la puissance américaine les exaspérés du politiquement correct, comme Martin Luther King avait fait rêver à une société fraternelle dans son célébrissime discours de Washington. La cérébrale Hillary Clinton ne faisait pas rêver. Le rêve en politique est la meilleure et la pire des choses.
 
Obama lui aussi avait fait rêver (« yes, we can »).
Son éloquence élégante, son habileté relationnelle et gestuelle lui assurent une carrière exceptionnelle dans le circuit des conférenciers et peut-être des maitres à penser. Pourtant, s’il fut flexible avec les autocrates, il fut brutal  avec les pays amis quand ils s’écartaient de ses plans. Son silence lors des élections iraniennes truquées de 2009, son soutien des Frères Musulmans lors du printemps arabe, sa longue proximité avec Erdogan  avant que celui-ci ne se transfère sous giron russe, et, bien sûr, sa volonté de circonscrire à l’occupation de territoires après 1967, un conflit israélo-arabe dû à un rejet existentiel, furent les indices d’une vision du monde dans laquelle l’élimination de Ben Laden et l’usage de drones contre ses supporters autorisaient une mansuétude totale à l’égard de l’islamisme. Les années Obama furent une période où les droits de l’homme furent détournés et colonisés (on ne colonise pas que des territoires) par une rhétorique anti-israélienne réellement antisémite dans les Universités ou les mouvements de défense des opprimés (Black lives matter….).
Les subventions financières de la péninsule arabe ou celles de la Fondation Soros, promoteur de J Street et soutien de nombre d’organisations hostiles à Israël ne sont pas étrangères à ces développements récents. George Soros a été l’un des soutiens majeurs de Mme Clinton et aurait certainement joué un rôle important en politique étrangère. Dans ces conditions, alors que 70% des Juifs américains ont voté  Clinton, ceux qui se préoccupent des attaques contre Israël devraient tenir compte de ce que entre les deux milliardaires new-yorkais, le froid philosophe spéculateur juif hongrois est porté par une haine envers Israël et un mépris envers le judaisme que l’extravagant promoteur immobilier n’a, lui, jamais manifestés.
 
Ce qui ne signifie pas qu’il faille fermer les yeux sur la moindre allusion raciste, d’où qu’elle vienne. C’est évident, mais par les temps qui courent, autant le rappeler.